La nature est pour Descartes des éléments dont on peut tirer profit, on peut en connaître les propriétés et le fonctionnement, la capacité de réflexion nous caractérise, ces éléments sont régis par des lois que l'ont peut analyser, c'est là un présupposé essentiel de la science occidentale. L'objet de toute science est donc de décrire les lois de la nature, si elle est régit par des lois en revanche la culture ne l'est pas, si un être inanimé ou une plante ou un animal obéit à des lois c'est sont instinct, en revanche les sociétés humaines ont des fonctionnements différent, l'homme s'est affranchit de son instinct et il est autonome. Ce qui est découle est une strict opposition entre nature et culture, elle est essentielle. Finalement on peut définir la nature comme étant l'objet d'étude de la science. Cette définition créant une hiérarchie, l'Homme par son bon sens se trouve au dessus de la nature, il peut donc en devenir comme maître et possesseur. Cette opposition a permis la naissance de la science.
[...] Mails il n'explique pas à lui seul le bilan de quelque chose. C'est par exemple la différence de mortalité entre un tremblement de terre en Chine et au Japon. Les enjeux (densité par exemple), la vulnérabilité regroupe de nombreux paramètres comme l'environnement qui peut être plus ou moins vulnérable à un aléa Typologie génétique selon les aléas. Ils peuvent être d'origine naturelle, sanitaire, technologique, ou enfin géopolitiques et sociaux. Il y a les anciens risques : qui ont des bords nets, et précis, au contraire des nouveaux risques qui ont des limites plus floues. [...]
[...] Hors beaucoup de travaux d'après guerre ont montré via études sur les animaux que ces limites devraient être révisés, ainsi on sait que des grands singes sont capables d'apprendre un langage sommaire, on sait que certains sont capables d'utiliser des outils, voir même d'exprimer des sentiments ce qui contribue à créer des continuums, et non des barrières étanches. Les premiers outils sont des outils frustres dans la mesure où cela peut être juste un galet, ce qu'un grand nombre d'animal peut faire, en revanche l'outil humain va se complexifier en faisant des galets aménagés (en tapant deux pierres) ce qui nécessite une intentionnalité, qui n'est pas produite par les animaux. Il n'y a donc pas d'opposition franche entre l'homme et l'animal. [...]
[...] Ainsi on a une méthode systémique, qui considère que le système n'est pas égale à la somme de ses éléments, ce qui compte c'est les relations entre les différents éléments du système. Avec ces nouveaux risques l'environnement devient un enjeux essentiel et là il y a un changement de paradigme de vision des choses, c'est qu'avant l'environnement était source de risque, tant dis qu'avec les nouveaux risques l'environnement est devenu un enjeux, une victime des risques. Definitions et limites. Le risque est : Aléas x enjeux x vulnérabilité. [...]
[...] Autrement dit il existe une solidarité globale due au déplacement de la pollution, ainsi le degré de l'exposition aux risques est indépendant du niveau de richesse des états. Pour Bourdieu, pour comprendre une société il faut comprendre ses inégalités sociales. Pendant longtemps, sous l'ancien régime le principal problème était la pénurie, allait-il faire suffisamment beau pour que la production soit suffisante ? Aujourd'hui le risque est plus que les gens mangent trop. Un autre problème est la perception, le risque est diffus, on le sent moins que ceux d'avant, ils sont physico-chimiques. On passe aussi de problèmes locaux à des problèmes globaux. [...]
[...] Ordonnance de Brunoy : dès le 17e il fallait garder en état les forêts du royaume. Le développement est lié à la croissance. IDH : indicateur de développement humain (PIB/habitant, espérance de vie, alphabétisation globale). Tous les modes de croissance basés sur une croissance continue ne se sont pas souciés de leurs impacts sur l'environnement. Club de Rome : industriels qui ont commandé au MIT un rapport 0 sur les conditions de la croissance (=Rapport Meadows). Une des conclusions est que la croissance doit être maitrisée (sinon destruction des écosystèmes et des réserves). [...]
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