Pensée, philosophie, conscience, instrument, éveil
Production rationnelles. La raison, c'est l'instrument intellectuel et moral de la pensée. Cette démarche est la recherche de la sagesse, elle s'enracine ds une activité spécifique à l'H. : penser.
Penser : pendere = peser examiner, évaluer une réalité, observer, prendre du tps pr considérer ac attent° la situat°. C'est dc une faille qui brise l'automatisme de l'instinct ou du conditionnement. C'est un « espace » qui provoque une rupture par rapport à l'adaptat° immédiate. La pensée naît ainsi de la découverte d'un pb. Cette activité de la pensée n'est possible que parce qu'elle s'appuie sur un support : la cs considérée comme un moyen, un pont
[...] à ces métaphysiques. On assiste à la naissance d'un mvt qui annonce l'importance que l'on va désormais accorder aux pouvoirs du sujet qui connaît surtt au plan intellectuel, ce mvt est effectué par Descartes sur la plan philosophique car il va démontrer le sens philosophique de ces nouveaux rapports de l'H. et du monde. En effet la cs découvre que ses anciennes certitudes st bouleversées, elle va devoir se détourner de ses repères familiers. Le pb de Descartes, est de fonder l'édifice de la connaissance à partir d'une base solide qui va résister à l'incertitude. [...]
[...] pose implicitement ici la du fondement de la vérité cf. indubitables dont on a jms douté. Fondement : ce qui donne une garantie Descartes veut dire que les maths présentent une évidence rationnelle qui s'impose à nous mais sans jms avoir été remise en cause. Dc cela ne signifie pas qu'il est impossible d'en douter parce que sinon on se trouverait ds l'ordre de la persuas°. On en déduit que ns sommes en présence d'un nouveau type de croyance indép. [...]
[...] : Le doute a progressé du probable à l'irréel. Cela signifie que la réalité sensible n'est dc pas un critère fiable pr une connaissance certaine. T2 : Présente la remise en cause de la connaissance intellectuelle Idée générale : Les vérités mathématiques semblent résister au doute parce qu'elles st universelles et objectives. Les math st des objets de la pensée, des concepts. Dc ns pouvons douter que ns voyons des objets ms ns ne pouvons ns représenter un objet autrement qu'ac une certaine expans°. [...]
[...] va dc opposer à cette attitude un renversement ontologique. Cela veut dire que les choses ne st pas dites par ex. vraies ou fausses en d'un jugement subjectif et relatif à chacun ms st ainsi qualifiés parce qu'on peut rapporter ce qui les caractérises à une essence commune à ttes les cs et celle-ci est source de compréhension objective. Cette concept° des Idées a des conséquences sociales et morales. Ontologie : qui concerne l'ê., l'essence 2e sous partie (l.55 à fin) : P. [...]
[...] Etat : sentiment, émot°, projet Objet : peut ê. placé, situé, jeté Ns remarquons que par sa nature même de savoir, la cs ouvre la possibilité d'une rupture ac le réel subit immédiat. Pourtant la cs est parfois endormie, habituées aux exigences pratiques, quotidiennes ou à des comportements culturels tt ce que ns faisons par automatisme issu du conditionnement. Notre cs est créatrice d'habitudes car elle recherche l'adaptat° autant pratique que mentale. Cpt si ces habitudes st nécessaires, elles menacent la cs parce qu'elles la mécanisent et risquent de tuer l'attent°. [...]
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