conscience, conscience de soi, déterminé, Freud
Si ce que je suis dépend de mon degrés de lucidité que j'ai, de la conscience que j'ai de ce que je suis, des évènements cela signifie que la personne doit parcourir un certain chemin si elle veut avoir pour fin son bien et de ce fait, elle doit user de sa raison afin de bien juger, distinguer le vrai du faux, le bien du mal et donc elle serait toujours capable de choisir.
Ne doit-on pas, en principe, admettre que toute personne est capable d'user de sa raison et de choisir ce qu'elle doit faire pour son bien ?
[...] - 2ème partie : si + forme négative Si ce que je suis ne dépend pas uniquement du degré de lucidité que j'atteins, de la conscience que j'ai de ce que je suis, des évènements, c'est que la personne même si elle a pour but sont bien, il existerait un déterminisme : biologique, psychologique, sociologique, inconscient. N'oublions nous pas que nous pouvons être parfois déterminés, inconscients ? - 3ème partie : enjeu = responsabilité et liberté. Or en principe, toute personne parce qu'elle est libre ne doit-elle pas être responsable ? Utilisation de la problématique Les trois parties doivent être notées immédiatement après avoir introduit le sujet. 1er > I 2ème > II & III 3ème > III et conclusion. - Introduction : On se demande quel est l'objet du sujet. [...]
[...] Cela conduit à ce que le plus fort gagne = anarchie. Cela se répercute également sur l'instruction puisque l'école est la première communauté extérieure à la famille que j'intègre. Si dans l'idéal, l'éducation devait être l'affaire d'un être d'une nature supérieure c'est que cet être est censé être omniscient, il ne peut pas se tromper et est censé avoir pour fin le bien. Donc l'homme pourrait se diriger rationnellement, accéder à la vérité et être moral. Ainsi l'homme serait libre. [...]
[...] 1ère partie : La nécessité de l'éducation 2ème partie : L'éducation ne devrait-elle pas constituer un idéal et un projet politique ? 3ème partie : Dans les faits, la seule fin des individus n'est-elle pas leur intérêt ? Donc l'éducation transforme l'animalité en humanité. Ainsi, l'enfant ne doit plus utiliser la force pour convaincre, il doit utiliser la raison pour se déterminer et respecter les autres. Une évolution > perfectionnement. Problème : il n'est que ce que l'éducation fait de lui et donc la qualité des éducateurs fera celle de l'enfant. Enjeu : l'enfant mais aussi la société et même l'Etat. [...]
[...] Corps = matière qui peut être considéré comme objet. En conséquence, on pourrait en faire ce que l'on désire, donc on pourrait lui faire violence, en abuser, le vendre donc corps = marchandise = prostitution involontaire. En aucun cas la personne ne peut s'aliéner elle même. Aliénation : autre, étranger, confier son pouvoir de décision à un autre que soit même de manière involontaire. Peut être physique ou morale. Que faut-il pour que l'enfant évolue ? Le passage de l'animalité à l'humanité : Victor de l'Aveyron qui tendrait vers l'idée qu'on ne nait pas homme, on le devient. [...]
[...] Ils sont eux-mêmes dans leur jugement, déterminés. Le but de l'avocat c'est de retracer l'histoire de l'individu. Et d'expliquer que l'individu n'est que la somme des évènements qu'il à pu vivre, subir. Donc ainsi, l'individu est passif ; il n'a fait que subir des contraintes et ainsi en aucun cas il est responsable donc on ne peut pas le punir puisque face aux évènements il n'avait pas le choix. Si la justice fait tout pour que la peine soit proportionnelle au seul travail de l'avocat qui est capable de reconstruire l'histoire de son client alors tous les individus ne sont pas égaux face aux lois puisque certains seront persuasifs alors que d'autres le seront moins. [...]
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