Il existe sans doute des concepts premiers, cad fondamentaux, qui structurent la pensée et rendent possible ses élaborations, ainsi en va-t-il des concepts d'être, de temps. Puisqu'ils sont 1er, ces concepts sont nécessairement indéfinissables. En est-il de même de l'action ? on ne saurait affirmer que son concept soit premier et indéfinissable ; il engage cependant une spécificité : il semble en effet envelopper une dimension spécifiquement humaine : l'opinion parle en effet le plus souvent d'un comportement animal et d'une action humaine. La question se pose donc de la détermination de ce concept spécifique : qu'est ce que l'action ? Il convient alors de s'employer à définir l'action en mettant à l'épreuve sa dimension humaine supposée. Or celle-ci paraît bien se fonder sur 2 singularités : viser rationnellement des fins et mettre en œuvre une liberté.
[...] Quelle est la structure ontologique de l'action ? S'émanciper de la pensée grecque Sartre ! L'action = irréductible à un simple calcul de raison et une simple apparence. L'action suppose la présence d'un manque EX : Empereur Constantin quitte Rome pour Byzance car les impôts rentrent mal et diffuser le christianisme on suppose un état où ils rentrent bien comparaison avec un idéal. ( Il fat que je pose un manque : fiscalité parfaite et diffusion parfaite du christianisme = 2 néants ! [...]
[...] Condition 1ère de l'action = liberté. Ce qui est ne peut pas déterminer l'action. Pas d'action sans motif mais ne pas confondre motif/fin/cause. Ce motif valorisé par la conscience n'est pas une cause car une cause en tant que tel n'est pas subjective. Motif = négation / néant. EX = Les ouvriers vers 1830 acceptent un salaire de misère par peur de perdre leur travail. La fin : ne pas mourir de faim on pourrait croire que la peur détermine le motif, per de mourir de faim, façon de poser l'existence, accorder une valeur. [...]
[...] En est-il de même de l'action ? on ne saurait affirmer que son concept soit premier et indéfinissable ; il engage cependant une spécificité : il semble en effet envelopper une dimension spécifiquement humaine : l'opinion parle en effet le plus souvent d'un comportement animal et d'une action humaine. La question se pose donc de la détermination de ce concept spécifique : qu'est ce que l'action ? Il convient alors de s'employer à définir l'action en mettant à l'épreuve sa dimension humaine supposée. [...]
[...] EX : enfant qui parle, donc qui agit, mais ne sait pas pourquoi ni cmt. On a parfois l'idée de ce que l'on veut faire et cela nous suffit on se comprend, le but suffit. Mais ne pas confondre pensée /connaissance du but ! PLATON agir ce n'est pas se régler sur l'immédiateté du plaisir mais un déploiement des médiations. Le bien est-il nécessairement extérieur aux médiations ? Le calcul des plaisirs = je peux m'infliger un déplaisir pou avoir un plaisir. [...]
[...] ( La conscience = semi-transparente car je n'ai conscience que des effets et pas des causes. Pour Spinoza c'est le manque de culture qui me détermine que je suis voué à souffrir. C'est le savoir qui permet de changer d'idéal/ valeur. Il y a à la racine des actions des déterminations inconscientes : - action effectuée par cause inadéquate - action déterminée par un savoir rationnel Quelle liberté faut-il attribuer à la puissance d'agir ? PBM = Action par liberté / action pas non-liberté. [...]
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