Philosophie, opinions philosophiques, positivisme, Auguste Comte, sociologie, Karl Marx, Alexis de Tocqueville, liberté de croyance, épistémologie génétique, stratégie d'entreprise, Management, gestion de projet
Le positivisme s'oppose aux croyances théologiques et à toutes les formes de superstition. Il est associé à la confiance dans le progrès technique et scientifique et dans la formalisation mathématique (scientifique) du réel, la philosophie positiviste allant des mathématiques à la sociologie.
Le positivisme apparait à la suite de la chute de l'Ancien Régime (révolution). Durant la période de révolution industrielle, il y a un essor de la productivité générant un conflit de forces sociales, s'ensuit l'essor des nationalistes européens et les espoirs universels de liberté, d'indépendance et de bonheur. Auguste Comte a remis en cause le modèle existant et a posé les bases d'une nouvelle société.
[...] L'organisation n'a pas de morale propre, celle-ci est composée de la morale de ses membres. L'entreprise n'est pas éthique en soit, mais les individus qui la composent. Le questionnement ne sera donc pas sur l'entreprise mais sur les individus. L'homme est plus éthique lorsqu'il agit seul de sa propre volonté et qu'il a le choix. Pour Kant, la volonté est la raison pratique. La raison pur est l'action. La volonté est une faculté de choisir de faire ou pas faire suivant si l'on est contraint ou pas. [...]
[...] Projet visé, intention exprimée. Et l'autre côté, programmatique, traduction opérationnelle. Dimensions du projets sont indissociables et complémentaires Dimension de désir : Cela suppose d'avoir des idées et envies. Comment prétendre avoir envie d'améliorer le futur si on a aucun désir, aucune envie. Un projet seulement raisonnable n'est pas un projet. Le désir est l'élan initiateur. Finalité réelle. La raison n'est que le moyen de ce désir. Le projet s'inscrit au cœur d'un double désir Le project management Apparait dans des circonstances bien particulières. [...]
[...] Principe réducteur de comparaison : une mesure en RH est faite dans un objectif de porter un diagnostic qui peut donc s 'apparenter à un jugement Or le jugement est fait de représentations (Husserl et Heidegger) Or le jugement consiste en une liaison ou une séparation dans le domaine de nos représentations (Aristote) Liaison faite entre tous les jugements précédents pour en faire un autre. Aristote, c'est une liaison et séparation entre jugement antérieur. Jugement négatif ou positif. Le jugement est dit complexe car on combine plusieurs représentations. Seul le premier jugement de notre vie est simple car tous les autres sont complexes en en combinant plusieurs. On se retrouve donc avec des jugement difficiles de placer d'un point de vu objectif. [...]
[...] Un projet est une intention qui va se mobiliser en action, acteur, ressources . Intention velléitaire, on veut mais on ne fait pas. Si on dit qu'à l'origine du projet on a l'intention, cela veut dire qu'un projet est un artefact, il n'y a pas de projet sans intention. Tout projet est un construit humain qui n'est pas donné, pas naturel. Un projet n'est pas idéal. On ne peut pas l'optimisé étant donné que cela part d'une intention. Pas possible d'avoir un projet parfait. [...]
[...] C'est celui qui peut les réaliser La vrai liberté est la liberté d'agir et non celle de pensée L'usage du projet est aujourd'hui intempestif qui engendre de nombreuses émotions négatives. Le projet est aujourd'hui une approche routinière. Pour certain, le projet empêche de s'adapter. Dans le sens du dictionnaire, projet assimilable au but. But est quelque chose de normatif, indicateur quantifiable, associé à une échéance temporelle. Dimension plus anthropologique dans le projet qui va plus loin que objectif et but. Philosophie de vie dans le projet. [...]
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