Aguste Comte, positivisme, liberté, sociabilité, société progressiste
La notion de progrès émerge au XVIIème siècle.
L'ébranlement révolutionnaire résulte de la recherche d'une régénération totale => la destruction du régime catholico-féodal est nécessaire: car les plus éminents penseurs du moyen-âge ne pouvaient concevoir réellement une progression continue, et l'humanité leur semblait condamnée au mouvement circulaire. L'ébranlement révolutionnaire donne la force, l'audace de concevoir une notion sur laquelle repose nécessairement la vraie science sociale et donc la philosophie positive => développement de la théorie du progrès qui repose sur le développement de l'ordre (combinaison de ces deux notions dans le positivisme).
[...] Aguste Comte : discours sur l'ensemble du positivisme. Partie II : Destination sociale du positivisme d'après sa connexité nécessaire avec l'ensemble de la grande révolution occidentale. La notion de progrès émerge au XVIIème siècle L'ébranlement révolutionnaire résulte de la recherche d'une régénération totale la destruction du régime catholico-féodal est nécessaire : car les plus éminent penseurs du moyen âge ne pouvaient concevoir réellement une progression continue, et l'humanité leur semblait condamnée au mouvement circulaire. L'ébranlement révolutionnaire donne la force, l'audace de concevoir une notion sur laquelle repose nécessairement la vraie science sociale et donc la philosophie positive développement de la théorie du progrès qui repose sur le développement de l'ordre (combinaison de ces deux notions dans le positivisme). [...]
[...] Idée que la raison publique rejettera bientôt la métaphysique pour désirer l'ascendant social du positivisme. Dans cette nouvelle société française, la marche générale des débats et des évènements besoin fondamental d'une véritable doctrine universelle. Erreur de la métaphysique : pas de division entre puissance morale et puissance politique. Le positivisme fait la distinction = séparation nécessaire, principale base du régime final. Les perturbations des ambitions métaphysiques tendront à faire apprécier les démonstrations décisives de la nouvelle philosophie sur le sujet : qui représente la division comme étant essentielle à l'ordre et au progrès (pour plus d'infos, cf plus loin). [...]
[...] Moyens généraux pour appliquer une telle doctrine systématique : deux sortes : les uns fondamentaux relatifs à chaque initiation morale (pose principes et règles des sentiments) et les autres, complémentaires en consolident l'application réelle dans la vie active. Education morale : l'autorité qui instruit doit moins s'adresser à la raison pure qu'au sentiment direct. Système de commémoration = précieux complément à l'éducation morale : glorification positive de César, St Paul, Charlemagne. Commémoration négative en parallèle (Julien, Philippe II, Bonaparte.) Appréciation du passé pr des valeurs communes pour modifier le présent par l'éducation. Comme on ne peut pas tout démontrer tout de même : importance de l'autorité spirituelle du professeur = « digne autorité théorique ». [...]
[...] 1er genre de progrès : le progrès matériel (commun aux animaux et aux hommes) puis progrès intellectuel et enfin moral. (p141-143 c'est fondamental). L'amélioration morale > amélioration intellectuelle. Etablissement du positivisme : tout d'abord une politique provisoire car la société doit se reconstruire (après la Convention) l'assemblée tente un régime alors que les fç ne sont pas prêts chute du régime provisoire qui part la constitution a prétendu à un état final. Mais chute aussi dû à la guerre, et à l'impossibilité d'établir un régime définitif car manque totale des bases intellectuelles et morales qu'exigeait une vraie reconstruction politique. [...]
[...] Caractéristique occidentale : dignité personnelle basée sur le mérite intellectuel et moral de chaque homme (tout en respectant le classement résultant de la prépondérance pratique) et fraternité universelle esprit positif déjà établie dans l'éducation commune. Le positivisme rend justice au catholicisme : conception humaine, amélioration sociale = d'inspiration théologique. Persistance des croyances explique la difficile mise en place de nouveaux principes. Introduction nécessaire qui n'a pourtant pas empêché le progrès : abandon des croyances possible. Régénération finale = satisfaction des besoins intellectuels, moraux commun aux 5 civilisations : systématisation de la morale universelle = but de la philosophie et point de départ de la politique. [...]
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