- Du point de vue de la pratique, on pense qu'il existe des maladies uniquement mentales. Il peut donc y avoir des traumatismes sans qu'il y ait nécessairement d'origine somatique et qui ne sont pas non plus des simulations.
? Cependant, avant tout, il faut comprendre ce qu'est une névrose :
C'est une maladie mentale qui ne touche qu'un aspect de la personnalité sans l'altérer. Ça se voit donc seulement plus ou moins. La raison de cette maladie est une censure bcp trop importante.
En psychanalyse, la névrose désigne une affectation mentale qui a pour cause un conflit affectif ayant ses racines dans l'enfance (...)
[...] PHILO PART2 La Conscience, La Psychanalyse : A l'origine, c'est l'étude des névroses et des psychoses. Cependant, c'est une pratique et une théorie. - Du point de vue de la pratique, on pense qu'il existe des maladies uniquement mentale. Il peut donc y avoir des traumatisme sans qu'il y ait nécessairement d'origine somatique et qui ne sont pas non plus des simulations. ( cependant, avant tout, il faut comprendre ce qu'est une névrose : c'est une maladie mentale qui ne touche qu'un aspect de la personnalité sans l'altérer. [...]
[...] Là où il y a du sens, il devrait y avoir de la conscience ! Freud, en étudiant les phénomènes lacunaires (c'est à dire, Lapsus ) adjoint l'idée d'un sens caché. C'est à dire qu'il pense que le rêve n'est qu'un leurre. La psychanalyse est donc un instrument d'introspection qui permet de mieux se connaître soi même en décryptant son inconscient. D'ailleurs, le fait que les rêves sont le plus souvent absurdes, ne fait que confirmer cette idée de déguisement. [...]
[...] C'est donc une déplacement d'énergie érotique sur ce qui ne l'est pas. Pour Freud, toutes nos croyances sont des produits de sublimation. La sublimation permet de tout désérotiser, et de l'élever Quelques exemple : L'art (c'est une illusion qui se sait illusion. Tout ce qu'on que l'on ressent vient de ce qui est créé, c'est donc faux, et pourtant on ressent des sentiment le monde peut donc être construit sur le même modèle.), le sport Pour le sport par exemple, il y a une dépense d'énergie qui fournit un certain plaisir, or dès qu'il y a plaisir, il y a sexualité. [...]
[...] A l'inverse, la pulsion est constante et intérieure. C'est nous qui projetons sur le monde nos pulsions. Or si la pulsion est permanente, on ne peut y échapper. On doit les assumer. On peut en dégager trois principes : - La constance : la fonction du système nerveux est de maintenir le psychisme au degré le plus bas d'excitation. - Le plaisir : C'est une décharge d'énergie qui est nécessaire pour retrouver l'état d'équilibre psychique lorsque la tension est trop importante. [...]
[...] Freud découvre l'inconscient comme principe explication des maladies de l'âme. Il l'étendra ensuite à la totalité du comportement. Il part du principe que le désir est inconscient, qu'il n'est connu que par ses manifestations, par la censure que l'on lui applique. L'essentiel est donc refoulé. On se met des interdictions, notamment incestueuse, qui se révèle dans le discours. Ex : - Dénégation : J'ai rêvé d'une femme attirante, qui n'était pas ma mère. Il y a une dénégation (action de nier) qui illustre le désir que l'on éprouve, et l'interdiction qu'on y met. [...]
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