Franz Kafka, littérature, suppression des frontières, Aimé Césaire, colonialisme, racisme, Montesquieu, Zola, Robert Badinter, Voltaire, Candide ou l'Optimisme
En quoi la littérature tend-t-elle à faire tomber ces frontières, ces lignes de démarcations, qui séparent les Humains entre eux et en quoi celle-ci nous réconcilie-t-elle, dans une certaine mesure, avec nous-même ?
[...] La littérature a toujours lutté contre les défauts de la société de son temps notamment ce qui séparent les Hommes. Tout d'abord l'intolérance religieuse et idéologique a divisé les Hommes au cours des siècles, d'ailleurs, c'est notamment lors des périodes de changements et de découvertes que la société s'est divisé, laissant place aux débat et aux controverses. C'est le cas, par exemple de la période de la Colonisation. Des auteurs tel qu'Aimé Césaire ont dénoncés cette prétention de l'Europe à se croire idéologiquement supérieur aux nations Africaines. [...]
[...] La littérature nous fait donc grandir par ces enseignement qui nous permettent de nous mieux connaitre afin de faire avancer la société. Enfin celle-ci nous incite et nous aide a la tolérance afin d'abolir les séparations entre les Hommes. Montaigne prônait déjà cette tolérance dans son livre « Des cannibales », « Je ne suis pas marri que nous remarquons l'horreur barbaresque qu'il y a en une telle action, mais oui bien de quoi, jugeant bien de leurs fautes, nous soyons si aveugles aux nôtres. [...]
[...] La littérature a aussi lutté contre le racisme et les différences ethniques. Par exemple, à travers un texte tout à fait ironique, Montesquieu, dans son livre « l'esprit des lois », présente les « droits que nous avons eu de rendre les nègres esclaves ». Il énonce des raisons absurdes qui nous font prendre conscience de l'injustice fait aux nègres à cause de leurs couleur de peau. Par exemple Montesquieu dit, : « On ne peut se mettre dans l'esprit que dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir. [...]
[...] Ainsi celle-ci nous grandit et nous fait nous connaitre, faisant avancer la société. De cette façon elle attaque les frontières, les différences, qui séparent les Hommes permettant un monde meilleurs. Ces frontières qui divisent l'humanité sont multiples et infinies laissant encore inachevé l'histoire des controverses. En effet, des auteurs engagés n'auront jamais fini d'écrire pour dénoncer les travers de la société de leur temps, car comme le disait si justement Horace, poète latin des premiers siècles : « La vie n'est qu'un flux et un reflux perpétuel de contradictions. [...]
[...] Passons maintenant à la deuxième partie de notre raisonnement, en quoi la littérature nous réconcilie-t-elle, avec nous même ? Il faut mentionner que la littérature a toujours fait progresser et grandir la société en dénonçant ces erreurs. Elle nous fait avancer, nous grandit, en nous faisant nous remettre en question. A titre d'exemple, la littérature a souvent dénoncé la peine capitale comme une pratique barbare, finalement cette peine à été abolie après le discours engagé de Robert Badinter prononcé le 17 septembre 1981 a l'Assemblé national. « Attendre, après deux cents ans . [...]
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