Il s'agit d'un travail de philosophie portant sur la conception du moi. Ce travail peut vous aider pour le passage du BAC.
[...] Plus le temps passe plus les êtres changent, évoluent et se métamorphosent tout en gardant leur individualité. C'est pourquoi la recherche du « moi » est si complexe. L'auteur continu sa réflexion par une autre question s'il marche dans la rue et qu'un homme le voit par sa fenêtre, est-ce que cet homme voulait le voir ? L'auteur répond "non". Ce n'est pas forcément lui que l'homme veut voir. En effet, l'homme est passé à sa fenêtre sans intérêt pour un individu précis. Pour lui, l'auteur qui passe est une personne comme une autre. [...]
[...] ) ne sont point ce qui fait le puisqu'elles sont périssables ? ». Elles ne correspondent toujours pas au « moi » substance l'auteur peut perdre ces qualités « sans (se perdre lui-même) ». La recherche du « moi » parait impossible à trouver. Question d'interprétation L'auteur fini sa recherche par la conclusion : « On n'aime donc jamais personne, mais seulement des qualités ». En effet, si nous ne pouvons ni le trouver dans les caractéristiques physiques ni dans les qualités du corps et de l'âme, le trouvé est impossible. [...]
[...] Ce que nous aimons disparaîtrait au fil du temps. Nous pensons que ces qualités seraient l'essence même de la personne que nous aimons, mais la substance ne change pas. La substance de l'âme parait alors introuvable. On s'en fait une image « abstraite », une image qui n'opère pas sur la réalité et qui est difficile à comprendre. L'amour pour le « moi » substance est donc impossible. Le « moi » se retrouve comme enfui en nous sans que l'on puisse véritablement le trouver. [...]
[...] On ne peut apercevoir le moi. L'homme à la fenêtre « ne pense pas (à lui) en particulier ». L'auteur se demande alors si un individu en aime un autre pour sa beauté, es ce vraiment le « moi » de cette personne. Le moi, est une substance de l'être qui elle ne change pas. Ainsi, l'auteur répond à sa question négativement, car la beauté, elle, est changeante. « La petite vérole tuera la beauté ». Cette beauté n'est pas permanente, mais un caractère éphémère de l'être. [...]
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