éthique, civilisation, Nouvelles technologies, principe responsabilité, gnosticisme, Homme, marge de progression, pouvoir, moralité, enjeux, hypothèse, progrès dans la civilisation, questions du génie, Hans Jonas
Au XXe siècle, l'homme a vécu une part glorieuse de son histoire, mais aussi une part sombre qui construit aussi celle-ci. La partie de lumières a influé sur la partie sombre, car elle concerne tout ce qui touche aux progrès humains comme les découvertes scientifiques et autres. Néanmoins, les progrès techniques n'ont pas été utilisés à bon escient, ils ont permis de construire de nouvelles armes pour la guerre, et nous savons que cette partiee de l'histoire de l'humain est d'une violence inouïe. En ce qui concerne les découvertes scientifiques, nous savons qu'il y a eu des cobayes qui étaient des prisonniers des camps de concentration sur lesquels étaient effectués des essais. Avec l'extrait que nous avons à notre disposition, qui est un extrait de document d'Hans Jonas, "Le Principe responsabilité : une éthique pour la civilisation technologique", nous pouvons remarquer qu'Hans est d'accord avec le progrès de l'humanité, mais à la fin de son extrait, il nous met comme en garde de faire attention au progrès humain.
[...] Deuxièmement, nous savons que Hans Jonas à la fin de sa vie, espère répondre aux questions posées par la civilisation technologique comme les enjeux environnementaux, les enjeux du génie génétique, etc. Selon lui, l'énorme pouvoir conféré par la technologie et la science pose un problème, et l'homme ne serait pas capable d'en faire la différence, pourtant dans les films, il arrive très bien à se projeter, mais souvent, les films de science-fiction sont apocalyptiques et cela ne se passe pas toujours bien, est-ce une façon de prévenir comme Hans que l'homme se dirige droit vers le mur ? [...]
[...] En utilisant le mot « doute » il appuie vraiment sur le fait qu'il y a eu une progression continue depuis que nous sommes sur Terre, et c'est un argument que personne ne peut démentir en disant l'inverse, car les faits, nous les voyons en nous-mêmes. Dans la suite de cette phrase, il nous fait comprendre que le progrès peut s'accroitre avec le « pouvoir humain », d'autant plus qu'il est transmissible, c'est-à-dire que ce que nos ancêtres ont découvert, nous en avons hérité comme leurs découvertes scientifiques, les progrès techniques, la médecine, etc., et que grâce au « pouvoir de certains humains », car nous ne sommes pas tous pourvues de ce « pouvoir », ils sont capables d'innover les anciennes découvertes en nouvelles découvertes. [...]
[...] Selon Hans, il faut un prix pour continuer à progresser, un prix qui nous serait utile, mais que nous ne privilégions pas et que nous préférons le progrès, à cela (il ne nous dit pas exactement ce que nous laissons derrière nous). Nous pouvons imaginer ce qu'il pense quand il dit qu'« il faut payer un prix pour cela, avec chaque gain, on perd également quelque chose de valable ( . ) » et que « pourtant ( . ) nous serions prêts à assumer ces couts ou à les faire porter par "l'humanité" ». [...]
[...] Par conséquent, avant d'utiliser une certaine technologie, il doit toujours s'assurer que la possibilité de la fin du monde est exclue. Selon cette règle, Jonas a besoin de connaissances préalables pour agir. III. Conclusion Pour conclure, nous pouvons dire que Hans croit au progrès humain, car il n'a cessé de progresser durant ces siècles, mais il reste perplexe, car pour lui, il y a une limite concernant ses progrès et que l'homme ne doit pas aller au-devant d'une catastrophe. Nous pouvons relier, ce texte et l'avis de Hans avec l'axe des limites de l'humain, car sans l'aborder totalement, il nous fait comprendre que l'homme va s'améliorer, lui-même, mais dans ce cas quelles seront ses limites ? [...]
[...] Le principe responsabilité : une éthique pour la civilisation technologique Hans Jonas (1979) Comment Hans Jonas défend-il l'idée de progrès dans cet extrait malgré ses inquiétudes ? Introduction Au XXe l'homme a vécu une part glorieuse de son histoire, mais aussi une part sombre qui construit aussi celle-ci. La partie de lumières a influé sur la partie sombre, car elle concerne tout ce qui touche aux progrès humains comme les découvertes scientifiques et autres. Néanmoins, les progrès techniques n'étaient pas utilisés à bon escient, ils permettaient de construire de nouvelles armes pour la guerre, et nous savons que cette patrie de l'histoire de l'humain est d'une violence inouïe. [...]
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