Présentations de la philosophie, mort, André Comte-Sponville, philosophie, deuil, peur, tristesse, vie, Épicure, Pascal, Platon
Concernant le texte étudié, il s'agit du chapitre 4, intitulé « La mort », tiré de l'ouvrage « Présentations de la philosophie » d'André Comte-Sponville.
Le chapitre étudié débute par une citation d'Épicure qui témoigne que personne ne peut échapper à la mort. André Comte-Sponville, dans son écriture, fait comprendre que l'essentiel n'est pas la mort en elle-même, mais la vie et l'amour de la vie.
[...] Présentations de la philosophie, La mort - André Comte-Sponville (2000) Concernant le texte étudié, il s'agit du chapitre intitulé « La mort », tiré de l'ouvrage « Présentations de la philosophie » d'André Comte-Sponville. Le chapitre étudié débute par une citation d'Épicure qui témoigne que personne ne peut échapper à la mort. André Comte-Sponville, dans son écriture, fait comprendre que l'essentiel n'est pas la mort en elle-même mais la vie et l'amour de la vie. En effet, nous savons tous que nous mourrons un jour. [...]
[...] Penser la mort avec philosophie Ensuite, André Comte-Sponville, dans ce chapitre, encourage à la philosophie, c'est-à-dire, à penser la mort, un clin d'?il à Platon. La vision de la mort selon André Comte-Sponville montre qu'il s'avère inutile d'évincer à tout jamais l'angoisse qui en émane ou encore de la relativiser, de tenter de réfuter toute émotion vis-à-vis d'elle. Comme il le rappelle, ce ne sont pas les sciences qui aideront car elles ne cherchent pas à répondre à ce genre d'interrogation. [...]
[...] La philosophie peut certes aider mais ne suffit pas à elle seule pour surmonter de telles souffrances. C'est pourquoi, l'auteur met en évidence dans son texte, l'importance d'accepter la mort comme faisant partie de la vie. Sans la mort ou en existant en permanence dans la peur de celle-ci, les êtres humains sont incapables de reconnaître la préciosité de la vie si vulnérable et temporaire. Conclusion En conclusion, après lecture de ce chapitre, je trouve surprenant et intéressant qu'André Comte-Sponville propose de penser avec plaisir à une notion comme celle de la mort mais, bien sûr avec philosophie. [...]
[...] Certains y voient un néant définitif comme les athées et André Comte-Sponville et d'autres une transition entre deux vies comme les philosophies plus spirituelles. André Comte-Sponville cite Pascal selon lequel la mort n'est pas vécue, pensée à l'identique chez tous les êtres humains. Mais, en général, nous ne souhaitons pas mourir. Ce n'est pas une volonté d'être immortel. La perspective de la mort nous poursuit en permanence. Son absence rendrait la vie plus monotone car l'idée de la mort nous pousse parfois à accomplir des défis qu'une vie bien finie ne suggérerait probablement pas. [...]
[...] Selon lui, la philosophie est plus apte pour aider à comprendre l'angoisse de sa propre mort et à l'accepter. Par contre, face à la perte d'un être cher, la philosophie ne peut rien à cause de l'épreuve douloureuse du deuil. III. Le deuil Enfin, André Comte-Sponville, au sujet de la peur de la mort d'un membre de la famille, d'un ami proche, ne cache pas être beaucoup moins préoccupé par la sienne. Pourquoi être à ce point effrayé par la mort des autres ? [...]
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