Dans le monde, il existe de nombreux pays. Certains sont grands d'autre très petits. Certains sont au centre de l'évolution, et d'autres sont isolés du monde. Aujourd'hui sur Terre nous sommes plus de 6 milliards d'humains.
Avec tous ses chiffres, essayons d'imaginer le nombre de cultures différentes qui existent sur cette terre. Elles sont très nombreuses sûrement. De plus, on a remarqué que sans culture, l'évolution n'existe pas. L'homme change et les cultures aussi. Un problème majeur peut être énoncé : si la diversité des cultures est si grande, ne peut-elle pas avoir un impact sur l'unité des hommes ?
Le problème serait donc de savoir si cela peut avoir une incidence sur cette unité. Cette pluralité des cultures est parfois vue comme une barrière et elle peut entraîner des conflits ou à l'inverse, entraîner des rapprochements.
[...] Les cultures sont à l'origine de la destruction de sociétés comme elles peuvent les sauvegarder. Quand les temps sont calmes et prospères, la paix s'installe, destruction est banni du langage et est remplacée par découverte des autres. L'unité culturelle serait donc possible si chacun, malgré ses différences, y trouvait son bonheur et son équilibre. Par contre, si cet équilibre est troublé par le moindre petit grain de sable, on cherche un coupable, les conflits naissent. Mais certains conflits sont parfois la conséquence d'une même quête culturelle pour l'unité d'un Peuple. [...]
[...] On a pu voir que les cultures pouvaient causer des conflits majeurs comme des rapprochements. Les différences culturelles peuvent être un obstacle pour la société alors qu'elles devraient être source d'enrichissement et d'évolution culturelle. Tant que notre regard ne s'ouvrira pas et tant que notre réflexion se construira autour du mot profit il sera difficile de parler d'unicité de l'homme. Et cela nous mène à nous interroger sur la vraie nature de l'homme . quelle est-elle pour nous amener à tant de discriminations ? [...]
[...] De leurs différences culturelles, les deux tribus (tribus dans le sens où leur manière d'opérer est tribale, sauvage) en viennent à faire des expériences sadiques afin de déterminer s'il y a ou s'il n'y a pas appartenance au genre humain. Viennent ensuite les critères sociaux économiques. L'Européen va travailler, économiser pour s'enrichir, regarder les moindres dépenses alors qu'un petit fang d'un village de la forêt gabonaise ne sait même pas le sens du mot économie. Dans ce genre de différence, où est l'unité de l'homme ? On n'en envoie aucune, au contraire, ils n'ont aucun lien. [...]
[...] Cette pluralité des cultures est parfois vue comme une barrière et elle peut entrainer des conflits ou à l'inverse, entrainer des rapprochements. En philosophie, le mot culture désigne ce qui est différent de la nature, c'est-à-dire ce qui est de l'ordre de l'acquis et non de l'inné. La culture a longtemps été considérée comme un trait caractéristique de l'humanité qui la distinguait des animaux. Chaque population possède sa propre histoire, sa propre culture. Avec le temps, elle évolue et son historique ne fait qu'augmenter. [...]
[...] La pluralité des cultures est-elle un obstacle à l'unité des hommes ? Dans le monde, il existe de nombreux pays. Certains sont grands d'autres très petits. Certains sont au centre de l'évolution, et d'autres sont isolés du monde. Aujourd'hui sur Terre nous sommes plus de 6 milliards d'humains. Avec tous ses chiffres, essayons d'imaginer le nombre de cultures différentes qui existent sur cette terre. Elles sont très nombreuses sûrement. De plus, on a remarqué que sans culture, l'évolution n'existe pas. [...]
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