La mort est-elle le pire des maux ? Ou il y a-t-il des choses qui valent que l'on risque sa vie pour elles ? La thèse de Socrate c'est que la mort n'est pas le pire des maux et que l'on ne doit pas la craindre.
Explication : affirmation catégorique, refus de l'ignorance de la mort pour tout le monde. Elle n'est pas justifiée mais est évidente. La suite formule une superposition étonnante et si la mort était la meilleure des choses (...)
[...] Alors Socrate interprète ce paradoxe par une question rhétorique : Les hommes ont tendance à dire plus de ce qu'ils en savent, ils ne savent pas reconnaitre ses limites de leur savoir et on peut penser que c'est à cause de leur imagination (par exemple sur les mythes religieux, sur les enfers) Partie trois Socrate s'affirme comme distingué mais dans un style modeste car son savoir et à peine supérieur à celui des autres. De ce savoir et à savoir de conscience de ses limites : lorsque Socrate ne sait pas il assume son ignorance. Ce qui débouche sur un résultat positif : se poser des questions, à des résultats bénéfiques et nous facilite la vie. [...]
[...] Enfin l'inconnu suscite un minimum de méfiance, on souffre de ce que l'on n'ignore pas ce qu'on ne peut en mesurer la gravité éventuelle et que l'on fait fonctionner son imagination sans limites. Mais secteur de l'inconnu et contrôlable, elle a quelque chose de maladif. Si on laisse fonctionner sont imagination alors on aura un peu de tout sans cesse et l'on ne fera plus rien. L'argument de Socrate et donc de contrôler son imagination puisque le pire n'est pas sûr et de faire face à ce qui est certain. [...]
[...] Ce sentiment est bel et bien expérimental et vérifiable dans la vie humaine. Socrate donne un exemple désobéir à meilleur que soit, dieu aux hommes. Ce qui montre la nécessité d'une hiérarchie dans la lignée humaine. Hiérarchie politique en société, et religieuses en religion. D'où la partie numéro cinq ou Socrate assume son avenir et son ignorance. Partie cinq Socrate établi une balance des mots d'un côté il n'y pas redouter la mort de l'autre, il a redouté de connaître la injustice. [...]
[...] Commentaire composé semi-rédigé : Consacré à l'œuvre L'apologie de Socrate de Platon. La mort (paragraphe 20a) Platon, L'apologie de Socrate : la mort Le texte du commentaire : «Nul en effet ne sait ce qu'est la mort, ni si par hasard elle n'est pas pour l'homme le plus grand des biens ; mais on la redoute comme si on ne savait pertinemment qu'elle est le plus grand des maux. Comment ne pas voir la cette ignorance qu'il faut stigmatiser, celle qui consiste à croire que l'on sait ce que l'on ne sait pas ? [...]
[...] Mieux vaut s'appuyer sur le certains qui nous donnent des raisons de vivre pour lequel il vaut la peine de mourir et éventuellement. Le monde n'est pas désirable mais on ne peut pas fonder sa vie sur elle. Mais on peut à nouveau s'interroger sur des raisons de vivre qui conduisent directement à la mort. Il y a des principes suffisamment valable pour affronter la mort en leur nom et que l'on se sacrifie. La vie n'est pas la valeur la plus précise que l'on doit défendre. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture