Pour Maupassant, le romancier doit tout mettre en oeuvre "pour produire l'effet qu'il poursuit c'est-à-dire l'émotion de la simple réalité, et pour dégager l'enseignement artistique qu'il en veut tirer, c'est-à-dire la révélation de ce qu'est véritablement l'homme contemporain devant ses yeux". Rejetant le roman romantique et sa "vision déformée, surhumaine, poétique" comme le roman symboliste marqué par les excès du psychologisme et de l'écriture artiste, Maupassant adhère à l'idéal d'un " roman objectif " à la recherche du réalisme mais conscient des limites de ce dernier (...)
[...] En ce qui concerne l'intertextualité extrinsèque de La Parure on peut mettre en évidence la tangence (partielle) avec le roman Madame Bovary de G. Flaubert, en relevant le traitement du thème de la condition sociale, Emma, aussi bien que Mme Loisel étaient mecontentes de leurs positions sociales et rêvaient aux mieux ; l'ennui existentiel, aussi bien que l'émancipation sociale sont d'autres thèmes qui visent les deux textes, et qui produisent des effets sur les deux héroïnes. Le motif de l'argent et celui de la souffrance, créent le sentiment que la vie sans moyens est comme le poisson sans eau, et que le manque de celui-ci provoque des malheurs interminables à celles qui en sont touchées. [...]
[...] Dar, printr-un efort puternic, ea isi calca pe inima si raspunse cu o voce calma stregindu-si obrajii umezi : - Nimic. Doar ca nu am nici o tinuta si prin urmare, nu pot sa merg la aceasta petrecere. Da invitatia vreunui coleg, sotia caruia este mai bine imbracata decit mine Niveau prétextuel. Guy de Maupassant né le 5 août 1850 au château de Miromesnil à Tourville-sur-Arques[ ]et mort le 6 juillet 1893 à Paris, est un écrivain et nouvelliste français. [...]
[...] Maupassant est un grand écrivain, il possède des capacités de peintre et un œil de bijoutier. Les personnages sont des hommes tirés de la vie quotidienne, et il les présente tels qu'ils sont, sans rien diminuer ou renforcer, mais, mon avis est qu'il aime ses héros, et qu'il est l'adepte des contes à fin heureuse ; il est un Dieu qui premièrement fait souffrir ses personnages, comme pour les faire comprendre qu'il est Tout-Puissant est ne pas s'être contentés de ce qu'ils avaient, et puis il les récompense et les fait gouter de l'élixir de la vie. [...]
[...] La carrière littéraire de Guy de Maupassant se limite à une décennie de 1880 à 1890 avant qu'il sombre peu à peu dans la folie et meure à quarante-deux ans. Pour Maupassant, le romancier doit tout mettre en œuvre "pour produire l'effet qu'il poursuit c'est-à-dire l'émotion de la simple réalité, et pour dégager l'enseignement artistique qu'il en veut tirer, c'est-à-dire la révélation de ce qu'est véritablement l'homme contemporain devant ses yeux Rejetant le roman romantique et sa "vision déformée, surhumaine, poétique" comme le roman symboliste marqué par les excès du psychologisme et de l'écriture artiste, Maupassant adhère à l'idéal d'un " roman objectif " à la recherche du réalisme mais conscient des limites de ce dernier. [...]
[...] Celle-ci lui a prêté une belle parure aux diamantes, grâce à laquelle, Mme Loisel a éclaté de beauté à la soirée où elle a eu un grand succès. Mais le bonheur qui l'envahissait s'est transformé dans un calvaire quand elle observait qu'elle avait perdu la parure. Les Loisel ont emprunté une grosse somme d'argent pour acheter une autre parure (véritable) et pour la ramener. Durant dix années, ils ont travaillé assidument pour rembourser les dettes et Mme Loisel ressemblait maintenant à une vielle, quand un jour elle a rencontré son amie et elle a décidé de lui dire la vérité. [...]
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