Commentaire d'un texte de philosophie de Karl Marx.
[...] La transmission se fait à l'aide de récit, de témoignage mais également par l'intermédiaire d'un spectacle ou de révolutions qui permettent de laisser des traces qui parfois deviennent signifiantes et indélébiles dans les esprits. Ainsi, nous comprenons que l'homme fait sa propre histoire suite à son vécu, au regard de l'antériorité. Or, ils ne la font pas de leur propre mouvement, ni dans des conditions choisies Marx parvient à expliquer, que d'une certaine façon, l'homme n'est pas totalement libre dans ses pensées, ses choix, ses reflexions. C'est comme si, l'histoire avait un sens, une direction. [...]
[...] Le présent n'est le fait que de résultats passés, d'événements historiques qui se sont déroulés tout au long de notre humanité, naissance. Nous ne pouvons pas connaitre notre existence si l'on ne se réfère pas au passé. Selon certains, le présent, c'est le passé Autrement dit, rien ne serait comme cela aujourd'hui, si le passé n'avait pas existé. Ainsi, si nous voulons traduire certains événements comme le 14 juillet ou encore le 11 Novembre, il faut impérativement faire référence au passé. [...]
[...] Si l'homme fait son histoire, il ne peut la faire selon son propre mouvement il va ce référer au passé. Eux seuls mettent en scène la notion d'un autre être, capable de lui, faire sa propre histoire, en choisissant n'importe qu'elle conditions possibles et inimaginables. Ainsi, Marx nous expose l'idée que l'histoire ne peut ce faire toute seule, sans points de départs. Les hommes font leur propre histoire grâce au passé, à la transmission d'un héritage culturel, politique. Marx émet que le passé est créateur et que l'homme ne peut envisager de faire son histoire sans lui. [...]
[...] Ces génération mortes retracent toute l'histoire, les événements auxquels ont participés de nombreuses personnes. Ce sont ces périodes de crises révolutionnaires ces époques si difficiles à expliquer et à transmettre qui pèsent sur le cerveau des vivants. Par delà, Marx énonce que l'être humain puise dans l'histoire, vers les personnes, événements, lois pour leur permette d'avancer, aller de l'avant. Pour lui, c'est pendant une période de récession, de crise, que les hommes empruntent leurs noms, leurs morts d'ordres, leurs costumes.». [...]
[...] Les hommes font leur propre histoire, mais ils ne la font pas de leur propre mouvement, ni dans des conditions choisies par eux seuls, mais bien dans les conditions qu'ils trouvent directement et qui leur sont données et transmises. La tradition de toutes les générations mortes pèse comme un cauchemar sur le cerveau des vivants. Et même quand ils semblent occupés à se transformer, eux et les choses, à créer quelque chose de tout à fait nouveau, c'est précisément à ces époques de crise révolutionnaire qu'ils appellent craintivement les esprits du passé à leur rescousse qu'ils leur empruntent leurs noms, leurs mots d'ordre, leurs costumes, pour jouer une nouvelle scène de l'Histoire sous ce déguisement respectable et avec ce langage d'emprunt. [...]
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