Nelson Goodman, Manières de faire des mondes (2006), philosophie, physicien, représentations du monde, croyances, culture, convictions, scientifique, théorie
Grand philosophe américain, Nelson Goodman avait une théorie précise concernant les représentations du monde. Dans Manières de faire des mondes, il s'interroge sur les modes de connaissance humains et expose son idée impliquant que selon, leur position sociale ou psychologique et leur personnalité, les hommes se représentent le monde de manières différentes.
[...] Le physicien Celui-ci, comme le dit Goodman, tient son monde pour « réel ». Il le fonde sur des recherches, sur de la science. Il est celui qui se pose les questions et qui essaie d'y répondre, pour lui et pour tout le monde. Ce besoin d'explication logique, d'explication scientifique est causé par une constante quête de la réalité. Le physicien, à l'instar de l'homme de rue, voit les étoiles comme des astres passionnants, comme des petits soleils pleins de mystères à étudier. [...]
[...] Manières de faire des mondes - Nelson Goodman (2006) - Y-a-t-il un nombre infini de représentations du monde différentes ? Grand philosophe américain, Nelson Goodman avait une théorie précise concernant les représentations du monde. Dans Manières de faire des mondes, il s'interroge sur les modes de connaissance humains et expose son idée impliquant que selon leur position sociale ou psychologique et leur personnalité, les hommes se représentent le monde de manières différentes. Nous nous concentrerons d'abord sur l'« homme de la rue », puis, avant de finir par une comparaison, nous étudierons le physicien. [...]
[...] Enfin, il nous apparaît que l'homme de rue et le physicien n'ont absolument pas les mêmes représentations du monde, et le monde en soi importe moins que les versions que l'on fabrique par notre connaissance : plutôt qu'un seul monde, il y a donc des versions de mondes différents. Quand l'homme décrit le monde, il le fait à partir de lui-même, de ses croyances, de ses convictions et depuis sa culture. Les philosophes, les scientifiques, les artistes . Tous participent donc à sa conception et en proposent de multiples versions, Nelson Goodman nous pousse ainsi à la réflexion : y a-t-il un nombre infini de représentations du monde différentes ? [...]
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