Pour l'ensemble des individus, la liberté est le fait de n'avoir aucune contrainte, de pouvoir faire ce qu'il nous plait de faire sans nous soucier du reste. Au contraire, pour les stoïciens, la liberté c'est la nécessité d'être conscient de ce qui nous détermine (ce que nous avons fait, subi …).
Dans ce texte, Sartre étudie la liberté par l'existentialisme.
En effet, pour lui, « l'existence précède l'essence ». Ainsi, on peut se demander qu'est-ce que la liberté ? Peut-on ne pas être libre ? Pour comprendre le problème dont il est question, nous allons tout d'abord étudier la vision de l'auteur sur la liberté. Puis, nous étudierons son affirmation « l'homme est condamné à être libre ».
[...] Pour l'ensemble des individus, la liberté est le fait de n'avoir aucune contrainte, de pouvoir faire ce qu'il nous plait de faire sans se soucier du reste. Au contraire, pour les stoïciens, la liberté c'est la nécessité d'être conscient de ce qui nous détermine (ce que nous avons fait, subi, Dans ce texte, Sartre étudie la liberté par l'existentialisme. En effet, pour lui, l'existence précède l'essence Ainsi, on peut se demander ce qu'est la liberté. Peut-on ne pas être libre? Pour comprendre le problème dont il est question, nous allons tout d'abord étudier la vision de l'auteur sur la liberté. [...]
[...] Mais la liberté n'est pas seulement le résultat de l'existentialisme. En effet, le fait d'être libre est aussi en rapport avec le destin. Le destin est le fait de déterminer d'avance et d'une façon irrévocable la suite des événements . Ainsi, la vie est remplie d'évènements qu'on ne peut pas contrôler ou éviter (la maladie, la mort Selon Spinoza, tant que l'on n'acceptera pas cette réalité, l'homme ne sera pas libre puisqu'il dépendra toujours du destin. Pour lui, le meilleur moyen pour être libre c'est donc d'accepter ces évènements et même de les vouloir. [...]
[...] "La liberté par l'existentialisme", Jean-Paul Sartre L'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait. [ ] Il est d'abord ce qui se jette vers un avenir, et ce qui est conscient de se projeter dans l'avenir. L'homme est d'abord un projet qui se vit subjectivement, au lieu d'être une mousse, une pourriture ou un chou-fleur; rien n'existe préalablement à ce projet. [ ] La première démarche de l'existentialisme est de mettre tout homme en possession de ce qu'il est et de faire reposer sur lui la responsabilité totale de son existence. [...]
[...] Cependant on ne doit pas confondre le fatalisme et le déterminisme. Le fatalisme c'est ce qui doit arriver, on sait que cela va arriver mais on ne peut rien y changer, on est condamné à subir les évènements, par exemple la mort. Le déterminisme est différent du fatalisme. Lorsque l'on parle de déterminisme, ce sont des évènements qui peuvent arriver mais que l'on peut aussi éviter. Par exemple, lorsqu'une casserole est chaude, on sait que si on la touche on va se bruler, c'est un fait. [...]
[...] Mais lorsque l'on est confronté à des choix plus importants, c'est notre responsabilité qui entre en jeu, on parle alors de libre arbitre. Par exemple, dans telle situation on pourrait mentir mais serait-ce réellement bien de cacher la vérité? C'est par le libre arbitre que l'on va prendre la décision mais il faut alors que l'on soit conscient de l'avenir. A la suite de cette définition de la liberté, dans le texte, l'auteur affirme que l'homme est condamné à être libre C'est cette affirmation que nous allons étudier. Tout d'abord, cette affirmation constitue un paradoxe. [...]
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