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Kant nous décrit au début du texte l'aspect naturel de l'homme, c'est-à-dire ce qu'il possède à sa création. Kant se met du côté de la nature, il la défend. En effet, il dit : "La nature ne fait rien en vain", en d'autres termes, elle ne fait rien inutilement. Il la décrit également comme peu généreuse "dans l'usage des moyens qui lui permettent de parvenir à ses fins" en ce qu'elle apporte à l'homme. La nature selon Kant sait donc ce qu'elle fait et est surtout consciente de ses actes, car la nature est le point de départ de tout homme. La phrase suivante nous donne les éléments que la nature a donnés à l'homme qui sont "la raison" et la "liberté de vouloir". La raison doit permettre à l'homme de laisser de côté son instinct et ainsi ne pas être dirigé par celle-ci, mais plutôt par la raison. C'est ce qui nous différencie de l'animal. L'animal agi par l'instinct, ses actes ne sont pas réfléchis et se basent sur ses connaissances innées tandis que l'homme agit par la raison, ses actes sont donc réfléchis, il en a conscience. Ainsi, l'homme est maitre de son existence.
L'homme est donc un être capable de décider de son existence et donc de tout tirer de lui-même. En effet, c'est à lui de découvrir la vie et son fonctionnement. Kant nous dit également que la nature a doté l'homme "des mains" qu'il compare avec les différents attributs des animaux (cornes de taureau, crocs du chien, etc.). Cela doit servir aux animaux pour se défendre tandis qu'il ne précise pas l'utilité des mains de l'homme, car avec les mains, nous pouvons faire une infinité de choses, elles n'ont pas de fonction précise contrairement aux attributs des animaux (...)
[...] La nature a créé l'homme de sorte qu'il tire tout de lui-même et se différencie de l'animal (L. Kant nous décrit au début du texte l'aspect naturel de l'homme, c'est-à- dire ce qu'il possède à sa création. Kant se met du côté de la nature, il la défend. En effet, il dit : La nature ne fait rien en vain en d'autres termes, elle ne fait rien inutilement. Il la décrit également comme peu généreuse dans l'usage des moyens qui lui permettent de parvenir à ses fins en ce qu'elle apporte à l'homme. [...]
[...] L'homme est responsable de ce qu'il fait et de ce qu'il devient. Ainsi, il ne s'est pas fait ‘aider' par la nature pour être ce qu'il est devenu. Elle ne l'a pas instruit, ni guidé, mais l'homme n'est que le fruit de sa propre création. C'est pour cela que l'homme a le mérite de ce qu'il est et c'est l'objectif même de la nature : que l'homme soit sa propre création, qu'il a le mérite de ce qu'il est et cela permet d'atteindre le bonheur. [...]
[...] Le bien-être est donc le résultat du travail fait par l'homme, et se mérite donc. CONCLUSION Finalement, selon Kant, la nature forme qu'une petite partie de l'homme, mais également une grande. En nous dotant de la raison, nous nous transformons en humain et laissons notre côté animal à l'écart. Nos actes sont donc désormais réfléchis et conditionnés par notre travail. Ainsi, nous devenons méritants de ce que nous avons bâti et pouvons dans une moindre mesure accéder au bien-être et au bonheur. [...]
[...] Kant, Idée d'une histoire universelle d'un point de vue cosmopolitique INTRODUCTION Ce texte est un extrait du livre Idée d'une histoire universelle au point de vue cosmopolitique, troisième proposition datant de 1784 d'Emmanuel Kant, philosophe allemand. Kant dans ce texte traite de la nature et de l'homme. Il s'agit ici pour Kant de nous montrer l'homme dans son état naturel, c'est-à-dire ce que la nature la doté à sa création puis de suivre son développement au fil de sa vie et de comment il est arrivé à parvenir à ce qu'il est devenu. [...]
[...] En effet, c'est à lui de découvrir la vie et son fonctionnement. Kant nous dit également que la nature a doté l'homme des mains qu'il compare avec les différents attributs des animaux (cornes de taureau, crocs du chien, etc.). Cela doit servir aux animaux pour se défendre tandis qu'il ne précise pas l'utilité des mains de l'homme, car avec les mains, nous pouvons faire une infinité de choses, elles n'ont pas de fonction précise contrairement aux attributs des animaux. Néanmoins, on peut se demander pourquoi la nature n'a pas doté l'homme de la même façon que les animaux pour se défendre. [...]
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