L'homme moise et la religion monotheiste - Sigmund Freud : analyse de 40 pages
Dans le cadre de notre étude en Anthropologie Culturelle et Sociale, nous avons été amenés à faire des recherches et étudier l'une des oeuvres de Sigmund Freud s'intitulant L'Homme Moïse et la Religion Monothéiste. En fait ce livre traite des différentes étapes de par lesquelles la religion monothéiste a vu le jour, pris forme et
arrivée à évoluer.
[...] Ce fait prouve que l'ambition de l'homme Moïse se manifesta dès l'enfance. Quant à l'interprétation biblique, elle retrace le comportement brutal de Moïse en brisant la table de la loi pour lequel Dieu l'avait puni. La parole difficile est l'un des traits de caractère attribué à Moïse, il avait un défaut de prononciation ce qui l'obligeait à prendre son frère Aaron pour les négociations qu'il aurait eues avec pharaon. Aucun historien ne peut tenir le récit biblique qui a trait à Moïse et à l'exode pour autre chose qu'une fiction pieuse qui a remaniée une tradition reculée pour la mettre au service de ses propres tendances. [...]
[...] En réalité la situation est plus complexe. Il est exact que tout refoulé est inconscient, mais il n'est plus exact de dire que tout ce qui au moi est conscient. Elle nous apprend que les qualités auxquelles nous nous sommes tenus jusqu'ici ne sont pas suffisantes pour nous orienter dans l'obscurité de la vie psychique. Le refoulé est porté au compte de ça, il est également soumis au mécanisme de ce dernier ; il ne s'en distingue que sous forme de genèse. [...]
[...] Car, plusieurs individus ont contribué à cette tâche en transformant leur Dieu en dieu éthique Yahvé pour les juifs. La masse au quelle Moïse imposa le culte de Dieu Yahvé fut que le peuple juif se considérait comme le peuple élu de Dieu. Le progrès dans la vie de l'esprit Il ne suffit pas de dire à un peuple qu'il est élu par la divinité pour assurer la permanence des effets psychique durables. Il faut essentiellement la foi. L'exode d'Egypte prouve l'exemple d'où la fête de la pâque fut instaurée pour marquer cet évènement ou une fête qui évoque des souvenirs de temps jadis. [...]
[...] Freud appelle autrement le mythe de la naissance d'un héros le roman familial de l'enfant dans lequel le petit réagit aux changements qui se manifestent de ses relations L'homme Moïse et la religion monothéiste affectives avec ses parents, notamment par une surestimation grandiose du père. Ce fait peut se rapporter au meurtre du père de la horde. Le roi et la reine ne représentent toujours que les parents dans le rêve et les contes de fées, alors que plus tard sous l'influence de la rivalité, et de la déception réelle, l'enfant se détache de ses parents et adopte une attitude nouvelle critique à l'égard de son père. [...]
[...] Comme les gens de Moïse, qui accordaient une très grande importance à leur exode d'Egypte, il a fallu attribuer cet acte à l'œuvre de Yahvé. L'homme Moïse et la religion monothéiste Freud souligne que les récits bibliques des évènements ou de la reconstitution de la préhistoire du peuple d'Israël sont précieux, mais toutefois, ils furent déformés sous l'influence de tendances puissantes et ornées de productions poétiques. Ce qui nous permet de découvrir les déformations, c'est la recherche que l'on doit mener. [...]
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