Le texte étudié est un texte du philosophe allemand, Georg Hegel. Dans ce texte l'auteur discute sur la liberté de l'homme. Ce texte est extrait de Propédeutique Philosophique écrit en 1810. Le thème principal est le libre arbitre. Selon l'opinion générale, l'homme n'est pas libre de ses actes. Or l'auteur, grâce à ses arguments, réfute cette thèse. L'auteur se demande pourquoi peut-on dire que l'homme est le seul maître de ses choix.
Dès le début du texte, Hegel nous décrit l'opinion admise par la majorité (caractérisé par le « on »): l'homme n'est pas libre. Selon ces personnes, les choix des hommes sont guidés par des forces, des évènements extérieurs et indépendants de lui. (« Ma volonté a été déterminée par ces mobiles, circonstances, excitations et impulsions. »). Ils suggèrent donc que l'homme est prisonnier de sa destinée, prisonnier d'une force supérieure à lui.
[...] Le fait que la thèse déterministe (c'est-à-dire que la volonté est déterminée dans chacun de ses actes par des forces qui l'y nécessitent) est souvent le fait que l'homme ne veut pas reconnaître que sa raison l'a poussé à faire de mauvais choix. C'est, selon l'auteur, une forme d'abandon de l'homme de sa propre responsabilité sur ses choix. Il est plus facile de rejeter échecs et autres malchances sur le destin ou sur les mobiles, les circonstances que d'accepter ses erreurs et de se remettre en question. [...]
[...] Il n'y a pas de place ici pour la relation de cause à effet. Les circonstances ne jouent pas le rôle de cause, et ma volonté n'est pas l'effet de ces circonstances. La relation de cause à effet implique que ce qui est contenu dans la cause en suive nécessairement. Or, par ma réflexion, je peux aller au-delà des déterminations posées par les circonstances. Quand un homme allègue qu'il a été entraîné par des circonstances, des excitations, etc, il entend rejeter, pour ainsi dire, sa propre conduite hors de lui-même; il se réduit ainsi à l'état d'être non-libre, purement naturel, alors que sa conduite, en vérité, est toujours sienne, non celle d'un autre ni l'effet de quelque chose d'extérieur à lui. [...]
[...] Ce texte est extrait de Propédeutique Philosophique écrit en 1810. Le thème principal est le libre arbitre. Selon l'opinion générale, l'homme n'est pas libre de ses actes. Or l'auteur, grâce à ses arguments, réfute cette thèse. L'auteur se demande pourquoi peut-on dire que l'homme est le seul maître de ses choix. Dans un premier temps, nous montrerons la thèse contraire de celle de l'auteur et dans un second temps, nous étudierons les arguments de l'auteur. Dès le début du texte, Hegel nous décrit l'opinion admise par la majorité (caractérisée par le on l'homme n'est pas libre. [...]
[...] La différence entre les deux thèses est essentiellement basée sur la liberté de l'homme quant à ses choix. Pour la thèse contraire à l'auteur, l'homme est soumis à des circonstances, à des évènements qui le dépassent totalement et que son destin est déjà tracé. Ainsi, l'auteur, lui, pense que grâce à sa volonté et à sa raison l'homme est maître de ses actions : c'est donc un être libre. Il est donc l'unique maître de ses choix et de ses actions. [...]
[...] Cette thèse est contraire à celle de l'auteur. L'idée que l'homme n'est pas maître de ses choix n'est pas admise par Hegel. Car, pour lui, l'homme est un être libre et donc libre de ses choix, de ses actions. L'auteur soutient donc la thèse inverse ; pour lui l'homme est caractérisé par son libre arbitre. Pour lui, l'homme est un être libre de ses choix, c'est l'acteur principal de ses choix. Mais, en vérité, [ ] ; il a été actif aussi De plus, selon sa thèse, c'est la volonté qui détermine les forces qui nous poussent à certains choix et non l'inverse. [...]
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