Le genre littéraire, Marielle Macé, critique, Maupassant, fluctuation du roman, préface, commentaire de texte
Le texte choisi est tiré du genre littéraire de Marielle Macé. Il est constitué de deux parties : une partie propre au critique et une autre appartenue à Maupassant. Les thèses avancées par ces deux derniers vont vers le même sens, voire ils défendent la même thèse : celle de la fluctuation du roman.
Cette harmonie d'idées n'est pour d'autres raisons que parce que la première partie est un simple commentaire de la deuxième. Un commentaire d'un autre commentaire. Effectivement, la deuxième partie est une préface, à la fois, auctoriale et ultérieure. Auctoriale parce que c'est la préface originale du livre et ultérieure parce qu'elle a servi comme moyen pour répondre aux critiques.
[...] Ce sont d'ailleurs des outils antigénériques (hybridation, parodie, polyphonie) ou paragénériques (ses vertus métatextuelles) qui le définiront à l'époque contemporaine. » Si Maupassant n'utilise pas ces concepts, c'est qu'il ne se disposait pas de tels concepts. Mais les phénomènes étaient fort connus à son époque et même avant lui. Molière, pour ne citer que celui là, utilise la polyphonie dans sa pièce de théâtre Les fourberie de . Il a utilise plusieurs registres littéraires dans la même pièce : le familier, et le soutenu. Travaux cités Balzac. La commédie humaine. [...]
[...] obtenir que cette lecture soit bonne. » (Genette, 1987) p.183 Du coup, Le texte que nous avons entre les mains rempli trois fonction : Obtenir une lecture, obtenir que cette lecture soit bonne et défendre son écrit. Toutefois nous remarquons que le dernier point comprend les deux autres. Lorsque nous défendons notre point de vue, nous essayant d'en convaincre l'autre à la fois de notre point de vue et de nous écouter. Si nous arrivons à cela nous nous assurons qu'il l'a bien compris. [...]
[...] Genette, G. (1987). seuils. Paris: le Seuils. Macé, M. (2004). Le genre littéraire. Paris: Flammarion. [...]
[...] Même si ce cadre n'est que la réalité elle-même. Mauré lui-même l'affirme qu' « Il (Maupassant) prend ses distances avec le réalisme et proclame la relativité des esthétiques et des perceptions, adossant tout roman à une « vison personnelle du monde.» En effet, contrairement à la figure emblématique du réalisme, c'est-à-dire Balzac, Maupassant proclame la relativité de la vision des choses. Donc selon Maupassant, ce « secrétaire » de la « société » doit écrire l'histoire à son aise. Les écrivains sont libres de reconstruire le monde selon leur conception personnelle, ou plutôt leur « vision personnel du monde » comme le dit Mauré à côté de Maupassant. [...]
[...] De vouloir faire comprendre le contraire de ce que vient d'avancer. Autrement dit, le roman n'a pas de règles. C'est cela, effectivement, ce qu'avance Mauré dans son commentaire en disant que le roman se fonde en principe « sur sa liberté d'invention et sur sa capacité d'absorption des discours critiques eux-mêmes. » D'autre part, l'adjectif « indubitable » met en avant, lui-aussi, une certaine ironie. Il leur reproche d'être bornés et enfermés dans des écoles bien précises. On le sait tous que dans un cadre de recherche le doute est la clé de la réussite. [...]
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