Quelle est la place du travail dans nos sociétés civilisées ? Le travail est-il pour les hommes un but en lui-même, ou seulement un moyen d'atteindre un autre but, l'argent ? Dans ce texte, Nietzsche nous présente le travail comme moyen, pour la majorité des hommes. Pour lui, ceux qui ont raison ne sont pas ces hommes-là, mais ceux pour qui le travail est le but lui-même. Ce texte peut se séparer en trois parties. Dans la première, du début à la ligne 7, "de tous les gains", Nietzsche expose un fait ; le travail est un moyen de parvenir à quelque chose de souhaité, mais n'est pas souhaité en lui-même, pour la majorité des hommes (...)
[...] Comme le dit Nietzsche dans la suite du texte, certains hommes ont compris que le mieux était de prendre le travail comme un but en lui-même, et dont le seul gain intéressant est l'accomplissement de soi, et le plaisir pris dans cette tâche. Il montre bien l'opposition entre ces deux catégories d'hommes, mais dans cette première partie il ne fait pas part de son jugement sur la catégorie d'homme à laquelle il apporte le plus d'estime. Il insiste cependant sur la minorité que cette deuxième catégorie d'homme représente, hommes rares laissant ainsi apparaître tout de même une préférence pour celle-ci. [...]
[...] Et le travail en question a peu d'importance pour ces hommes là, ils mettent peu de finesse au choix du travail le principe étant le gain, et plus celui-ci est élevé, plus le travail est intéressant, pour eux. Mais en cherchant avant tout le profit, ces hommes ne cherchent pas à s'épanouir dans leur emploi. Ils attendent le salaire qui leur permet de vivre, de survivre, le salaire qui permet à ces hommes d'accomplir leurs tâches en renouvelant leur force de travail. Ainsi, on peut parler d'aliénation du travail, selon le terme de Marx. [...]
[...] Chasser l'ennui de n'importe quelle façon est aussi vulgaire que travailler sans plaisir Ce que exprime que le travail est devenu pour l'homme un moyen d'abord de faire du profit, mais également de chasser l'ennui de s'occuper, ce qu'il qualifie de vulgaire car celui-ci est avant tout fait pour le plaisir, et l'ennui n'est pas quelque chose de mal et méprisable, mais il permet d'être heureux. Conclusion : Dans ce texte, Nietzsche nous fait part de son opinion sue le travail, qu'il ne dévoila qu'a la fin du texte, après avoir exposé les différentes façons de considérer le travail. [...]
[...] Dans ce texte, Nietzsche nous présente le travail comme moyen, pour la majorité des hommes. Pour lui, ceux qui ont raison ne sont pas ces hommes là, mais ceux pour qui le travail est le but lui-même. Ce texte peut se séparer en trois parties. Dans la première, du début à la ligne de tous les gains Nietzsche expose un fait; le travail est un moyen de parvenir a quelque chose de souhaité, mais n'est pas souhaité en lui-même, pour la majorité des hommes. [...]
[...] Mais si ce n'est pas le cas, alors ces hommes sont d'un paresse décidée Ces hommes ne craignent pas les conséquences de cette paresse, l'appauvrissement, le déshonneur, des dangers pour la santé et pour la vie L'appauvrissement et le déshonneur sont des choses fuites par le reste de la société, mais ici elles n'ont pas de valeurs, ces hommes ne faisant pas parti et ne partageant pas les valeurs de cette société. Mais Nietzsche fait la remarque que la paresse dont font preuve les hommes peut les amener à l'ennui. Mais cette ennui ne leur fait pas peur, comparé au fait de travailler, et d'exercer un emploi qui ne leur apporte rien, pas de plaisir. III. Travail et ennui Dans sa dernière partie, Nietzsche relie les notions d'ennui et de travail. [...]
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