Le titre
[...] Il y a ainsi une coprésence des deux types d'investissements affectifs tout au long de la vie. La santé psychique consiste à maintenir cette coprésence car si on aime que soi-même ou seulement un objet extérieur on va tomber dans une forme de pathologie. Paragraphe 10 : Freud rappelle que les hypothèses de la psychanalyse ne s'applique pas seulement à l'homme malade, mais aussi à l'homme normal, à l'homme en général. On peut trouver chez l'adulte des restes de narcissisme infantile notamment dans les rêves de toute puissance. [...]
[...] Ainsi ce que le "moi" considérait comme étranger vient de lui-même c'est-à-dire de son inconscient. D'autre part, les troubles du "moi" reflètent une lutte intérieure entre des pulsions qui cherchent à s'exprimer et une tendance à refouler ces pulsions. Cependant, ces pulsions vont ressurgir, car elles ne peuvent pas être éliminés et elles vont s'exprimer d'une manière incontrôlée c'est-à-dire sous forme de symptômes. Le "moi" n'a pas la connaissance complète des pulsions et de leur parcours mais il éprouve une souffrance intérieure liée à un conflit intérieur. [...]
[...] Lecture suivie de : Une difficulté de la psychanalyse extrait de l'inquiétante étrangeté et autres essais FREUD Le travail effectué ci-dessous est une étude par paragraphe de "Une difficulté de la psychanalyse" (texte intégral). Ce travail convient parfaitement pour l'entraînement à un examen oral ou pour la rédaction d'un commentaire de texte. Introduction Le titre Une difficulté de la psychanalyse n'évoque pas un problème interne à la doctrine de Freud mais cela évoque la difficulté qu'éprouve la psychanalyse à être comprise et acceptée. [...]
[...] Pour Galilée ce n'est plus une hypothèse mais une réalité scientifique. Paragraphe 14 : Freud constate que l'homme a voulu se distinguer radicalement des animaux en se pensant comme supérieur à eux grâce à l'âme. Cependant, il faut remarquer qu'il n'en a pas toujours été ainsi dans l'histoire des hommes en général ni dans l'histoire de chaque individu. En effet, dans la préhistoire, les hommes ne se sentaient pas fondamentalement différents des autres animaux et ils avaient même tendance à les diviniser. [...]
[...] Paragraphe 22 : Freud rappelle qu'il n'est pas le premier à souligner l'importance de l'inconscient, il cite le cas de Schopenhauer qui parle déjà d'une volonté inconsciente qui gouverne les individus. Freud aurait également pu parler de Nietzsche qui parle de forces inconscientes et de pulsions. Cependant, le propos de Freud n'est pas d'abord philosophique mais thérapeutique, selon lui la philosophie en reste au niveau des généralités où elle parle de l'espèce humaine et non pas de chaque homme en particulier. La psychanalyse cherche elle des outils pour comprendre chaque individu en particulier parce que chaque malade est unique. [...]
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