Voltaire, auteur du XVIII siècle est un philosophe des Lumières, il a participé à l'Encyclopédie, il a lutté contre l'intolérance religieuse. En défendant les victimes de ce fanatisme comme Callas ou le Chevalier de la Barre. Sa devise était « écrasons l'infâme » Il a participé à la rédaction de l'Encyclopédie et à de nombreuses œuvres comme Les Lettres Philosophique ou des contes comme Candide ou Ingénu. Plusieurs de ces récits ont été réunis et publié sur le titre de Mélange, c'est le cas de l'extrait étudié « femmes soyer soumise à vos maris ».Dans cet extrait Madame la Maréchale fait par des son indignation à l'abbé de Châteauneuf, elle a été choqué par les propos de Saint-Paul qui dans ses épitres affirme que les femmes doivent être soumises à leur maris. Nous pouvons donc nous demander comment Voltaire dénonce t-il ici l'injustice faite aux femmes.
[...] Fiche Commentaire : Voltaire femmes soyer soumises à vos maris Introduction : Voltaire, auteur du XVIII siècle est un philosophe des Lumières, il a participé à l'Encyclopédie, il a lutté contre l'intolérance religieuse. En défendant les victimes de ce fanatisme comme Callas ou le Chevalier de la Barre. Sa devise était écrasons l'infâme Il a participé à la rédaction de l'Encyclopédie et à de nombreuses œuvres comme Les Lettres Philosophique ou des contes comme Candide ou Ingénu. Plusieurs de ces récits ont été réunis et publié sur le titre de Mélange, c'est le cas de l'extrait étudié femmes soyer soumise à vos maris ».Dans cet extrait Madame la Maréchale fait par des son indignation à l'abbé de Châteauneuf, elle a été choqué par les propos de Saint-Paul qui dans ses épitres affirme que les femmes doivent être soumises à leur maris. [...]
[...] Mais cela n'est pas un argument qui pourrait justifier que les femmes soient soumises comme le prouve sa remarque ironique j'ai bien peur que se ne soit là l'origine de sa supériorité (L.31). Elle fait passer les hommes pour des brutes qui s'imposent par la force. Les hommes sont prétentieux et affirme sans la moindre preuve leur supériorité comme l'indique les verbes prétendre, venter (L.32). Par conséquent les femmes n'ont pas à être soumise aux hommes car rien ni personne ne peut le légitimés. II Le plaidoyer en faveur des femmes. [...]
[...] Le déterminant possessif «votre montre quelle ne veux pas adhérer à ses propos. Elle n'hésite pas à ce moqué de lui, à titre d'exemple C'était un homme très difficile à vivre ainsi que sa femme qu'elle évoque avec condescendance une bien bonne créature (L.11). Elle va même jusqu'à imaginer ce qu'elle aurait fait à sa place je lui aurais fait voire du pays (L.12) cela prouve que tout saint qu'il est elle n'aurait pas accepté d'être soumises. Ainsi pour la maréchale la religion n'a pas à cautionner la supériorité des hommes sur les femmes. [...]
[...] Conclusion : Voltaire, par le discours de la Maréchale de Grancey, montre que la misogynie n'a plus lieu d'être. La suprématie des hommes ne repose sur aucun fondement, et rien pas même la religion ne peut la légitimer. Le discours de la Maréchale est très persuasive et convainquant, elle joue sur le pathétique, en évoquant le sort peu enviable que les femmes subissent et suscite également l'admiration pour de grandes femmes comme Catherine II de Prusse. Mais elle avance des arguments rationnels. [...]
[...] La Maréchale rappelle ce que les femmes subissent. Elle évoque de manière indirecte la grossesse avec la périphrase maladie neuf mois, qui quelque fois est mortelle montrant les difficultés et les dangers d'être femmes, elle cherche à susciter la pitié de son interlocuteur avec le champ lexical de la douleur maladie, mortelle, grandes douleurs, mort ; incommodités très désagréables l'accumulation des questions rhétorique montre que les femmes vivent à cause des hommes et met en valeur leur courage. Cela rappelle aussi que l'injustice car n'est pas assez que je mette au jour un enfant qui pourra me plaider plus tard ? [...]
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