L'étranger, Camus, chapitre 5, Meursault, personnage
Face au calme de l'aumônier, Meursault s'énerve et déchaine un flot de paroles sur lui. Il affirmait que celui-ci n'avait rien à dire, que ses « certitudes ne valait un cheveu de femme ». Tandis que Meursault dit «j'étais sur de moi, sur de tout, plus sur que lui, sur de ma vie et de cette mort qui allait venir ».
[...] Meursault ne trouve plus l'importance des choses. « Que m'importaient la mort des autres mes frères. » Il sombre petit à petit dans une folie, rejetant finalement l'amitié et l'amour qu'il a put éprouver : « Qu'importait que Marie donnât . nouveau Meursault » Qui « purge » Meursault Après s'être calmé, Meursault est presque serein « j'ai retrouvé mon calme. » Il voit la mort d'un meilleur œil, repense à sa mère « Pour la première fois depuis bien longtemps j'ai pensé à maman ». [...]
[...] fait cette autre ». La vie est simplement la longue attente de celle-ci : « comme si j'avais attendu pendant tout le temps, cette minute et cette petite aube où je serai justifié » Lorsque Meursault se dit prêt à tout revivre, l'auteur assimile la mort à une sorte de renaissance de l'homme. Il a une certaine sensibilité, on le voit par Meursault qui « Des bruits de campagnes . comme une marée ». Prise de conscience de la vie et de son bonheur. [...]
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