Aristote est un intellectuel et philosophe grec, ayant vécu pendant l'Antiquité, et plus précisément entre 384 et 322 avant Jésus christ. Élève de Platon, Aristote fait partie des penseurs les plus influents de l'Antiquité. Aristote est également l'un des seuls philosophes de son époque à n'écarter aucun sujet de son analyse : tous les domaines connus sont traités.
[...] L'équité prônerait quant à elle l'adaptation du repas selon la corpulence. Les besoins nutritifs de l'homme de l'exemple ne sont pas les mêmes que ceux de la femme de l'exemple. Pour conclure, nous pouvons dire que la vertu s'inscrit dans une logique de bon, de mauvais ; de bien et de mal ; et par-dessus tout dans une logique d'équilibre. En effet, la vertu se retrouve être le point d'équilibre dans une situation, donnant ainsi une solution à équidistance, à égale distance, de toutes les issues possibles. [...]
[...] Éthique à Nicomaque - Aristote - Quelle est la nature spécifique de la vertu ? Aristote est un intellectuel et philosophe grec, ayant vécu pendant l'Antiquité, et plus précisément entre 384 et 322 avant Jésus christ. Elève de Platon, Aristote fait partie des penseurs les plus influents de l'Antiquité. Aristote est également l'un des seuls philosophes de son époque à n'écarter aucun sujet de son analyse : tous les domaines connus sont traités. Nous allons aujourd'hui analyser un extrait de texte écrit par Aristote. [...]
[...] D'autres exemples, au même titre que ceux évoqués par Aristote, peuvent être évoqués. La prudence s'illustre dans ces propos. En effet, dans le cas d'un juge dans une affaire judiciaire, la prudence permettra de déterminer le juste du mauvais, tout en essayant de faire preuve d'équité au maximum. La justice sera ainsi rendue, dans une équité aussi maximale que possible. Il est important de souligner, dans ce cas précis notamment, que l'erreur est humaine ; et que la prudence ne peut pas être équitable en totalité. [...]
[...] Quelle est la nature spécifique de la vertu ? Notre future analyse va être menée selon deux axes. La première partie concernera l'analyse de la notion propre de vertu. La seconde partie analysera quant à elle la vertu par le biais de la philosophie d'Aristote, l'auteur du texte. La notion même de la vertu Nous allons à présent débuter notre première partie, abordant la notion même de la vertu. Tout d'abord, la notion de vertu est définie par les Dictionnaires Le Robert comme étant une « Force morale avec laquelle l'être humain tend au bien, s'applique à suivre la règle, la loi morale. [...]
[...] La notion d'équidistance est alors avancée, dans le quatrième paragraphe. Selon les Dictionnaires Le Robert, l'équidistance se définit comme étant le « Caractère, (l')ensemble des propriétés de ce qui est équidistant, à égale distance ». Nous pouvons ici noter le fait que nous retrouvons l'idée du juste milieu, équivalent à l'équidistance, lors de la réalisation d'une action. La vertu, par le biais de l'équidistance des éléments dont elle doit prendre compte, doit se rendre identique et égale pour tous les hommes, comme mentionné à travers le quatrième paragraphe. [...]
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