Politique, liberté, Hannah Arendt, notion de politique, liberté humaine, sentiment intérieur
Voilà la question à laquelle Hannah Arendt essaie de répondre dans cet extrait. (…) Voilà la thèse de Hannah Arendt : Une personne se rend compte de sa liberté, avant tout par l'existence de la politique, plutôt que par un sentiment intérieur. Tout l'enjeu de ce texte est alors d'établir que la liberté est reconnue par une notion certaine et réelle, la politique, avant d'être un simple sentiment intime : pourquoi la liberté est-elle avant tout reconnue grâce à la politique, plutôt que par un simple sentiment intérieur ?
Hannah Arendt essaie donc de démontrer que par l'intermédiaire de la politique, la liberté humaine existe. L'intérêt du texte est d'abord de se redéfinir la place de la liberté, la placer plus comme un pouvoir pouvant agir sur les autres grâce à la politique, que comme sentiment purement personnel. Mais l'intérêt est aussi de définir cette notion concrète qu'est la politique en exposant les éléments nécessaires au déroulement d'une vie politique.
[...] La politique est liée à la liberté par le fait que la politique révèle la liberté, la politique est l'élément concret qui permet de prouver à l'homme, de faire à l'homme se rendre compte de sa liberté. La politique permet de se rendre compte de sa liberté, et cela avant même le sentiment intérieur de liberté. Le texte arrive à nous prouver se lien en s'opposant d'abord à une conception basique de la liberté comme liberté rationnelle puis en affirmant la liberté comme fondamentalement établie par la politique. [...]
[...] Ici l'auteur nous montre que la liberté est prouvable par la politique. De plus l'auteur souligne le lien intime entre ces deux notions qui sont la liberté et la politique par une comparaison presque mathématique qui est comme deux côtés d'une même chose A travers cette comparaison l'auteur nous montre l'irréfutabilité et la tangibilité de l'association entre la politique et la liberté. Dans cette troisième partie nous avons montrer que après avoir exposé sa notion de politique, l'auteur a souligné le fait que inversement au fait d'adjoindre la liberté à la politique si la liberté est considérée comme intérieur, on ne peut pas prouver son existence. [...]
[...] Qu'est-ce qui fait que la politique soit liée à la liberté ? Voilà la question à laquelle Hannah Arendt essaie de répondre dans cet extrait. ( ) Voilà la thèse de Hannah Arendt : Une personne se rend compte de sa liberté, avant tout par l'existence de la politique, plutôt que par un sentiment intérieur. Tout l'enjeu de ce texte est alors d'établir que la liberté est reconnue par une notion certaine et réelle, la politique, avant d'être un simple sentiment intime : pourquoi la liberté est elle avant tout reconnu grâce à la politique, plutôt que par un simple sentiment intérieur ? [...]
[...] D'abord, l'auteur donne des exemples de sociétés où ne règne pas la politique pour ainsi définir la politique. Ces exemples sont montrés par le passage Là où des hommes vivent ensemble mais ne forment pas un corps politique - par exemple, dans les sociétés tribales ou dans l'intimité du foyer A travers ce passage l'auteur montre que vie en société n'est pas forcément synonyme de régime politique. Ensuite, l'auteur donne des exemples de sociétés qui ne sont pas propice à la parole et à l'action et donc à la politique pour ici aussi donc définir le cadre où peut s'exposer la liberté. [...]
[...] Alors que la liberté, si elle est associée à la politique est prouvable. Dans cette première partie nous allons montrer que Hannah Arendt dément la conception basique de la liberté comme liberté intérieure et affirme la liberté comme fondamentalement établie par un fait concret qui en l'occurrence est la politique. D'abord, l'auteur souligne que traditionnellement c'est la liberté intérieur qui a le plus d'influence sur la esprit de homme. L'auteur souligne cette notion par le passage En dépit de la grande influence que le concept d'une liberté intérieure non politique a exercée sur la tradition de la pensée Avec ce passage l'auteur montre qu'au premier abord l'homme aurait d'avantage tendance à considérer une liberté intérieure qu'une liberté politique Ensuite, l'auteur affirme que l'homme en fait ne peut avoir connaissance de sa liberté intérieure que s'il a d'abord goûté à une liberté concrète. [...]
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