L'homme ne serait rien sans l'éducation. Cette dernière est primordiale durant l'enfance, et façonne l'individu, lui permet de devenir ce qu'il est alors. L'enfant est naturellement bon.
Il existe trois types d'éducation : l'éducation de la nature qui forme physiquement et psychiquement l'être humain ; l'éducation des hommes qui permet d'adapter son comportement en fonction de l'éducation de la nature reçue ; et l'éducation des choses qui résulte uniquement de l'ensemble des expériences vécues. C'est donc là qu'on remarque que l'éducation en soi est un art, puisqu'impossible à diriger vraiment. Elle dépend de la nature.
Le futur homme se développe ainsi, en tire sa vocation : ce sont les fondements de la société.
[...] Il ne doit y avoir dans l'éducation de ce dernier aucun rapport d'autorité. L'enfant doit savoir et apprendre que l'adulte est naturellement fort, et que lui est faible. Seule la force, et non l'autorité, doit être un frein à l'enfant. Pour cela, toute décision doit être unique et irrévocable, appliquée à la lettre, sans aucune explication. Il n'y a que de cette façon que l'enfant pourra devenir un homme sage, patient et égal, capable d'endurer patiemment la nécessité des choses Il faut qu'il soit capable de se débrouiller seul à l'âge adulte. [...]
[...] Émile et de l'Éducation, de Jean-Jacques Rousseau, résumé des livres premiers et seconde Livre Premier L'homme ne serait rien sans l'éducation. Cette dernière est primordiale durant l'enfance, et façonne l'individu, lui permet de devenir ce qu'il est alors. L'enfant est naturellement bon. Il existe trois types d'éducation : l'éducation de la nature qui forme physiquement et psychiquement l'être humain ; l'éducation des hommes qui permet d'adapter son comportement en fonction de l'éducation de la nature reçue ; et l'éducation des choses qui résulte uniquement de l'ensemble des expériences vécues. [...]
[...] Il faut mettre un cadre fixe, mais sans trop molester l'enfant non plus. Il faut donc trouver le juste milieu, en se basant sur les lois uniques du possible et de l'impossible. C'est par l'éducation décrite plus haut que l'on influe alors sur la juste liberté de l'enfant. Le fait que l'enfant soit bon ou mauvais dépend uniquement des relations qu'on lui donne au premier abord, au moment où il est naturellement indifférent à l'influence d'autrui. Ce n'est qu'alors que, si cela est fait, l'enfant n'écoutera que ce que la nature veut et ne fera alors plus rien de mal. [...]
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