Explication de la Lettre à Landois de Denis Diderot.
[...] C'est ce que Diderot cherche à expliquer ensuite. Pour l'auteur on ne peut pa s concevoir, penser un instant que l'être humain agit uniquement parce qu'il le désir. L'homme agit toujours car il à un motif On décide de faire une action car on le veut. Tel que lorsqu'on se trouve devant une feuille, on peut avoir tendance à voulo ir prendre un crayon dans sa main : c'est qu'on en a décidé, qu'on en a eu le désir. Toutefois nous ne sommes pas libres, puisque des facteurs tel que l'éducation l'organisation la chaîne d'événements nous ont déterminés à faire cet acte. [...]
[...] Quoiqu'il en soit, le motif comme l'appelle Diderot est toujours extérieur à soi. On exécute un geste toujours par rapport à un facteur qui n'est pas en nous, sinon on serait bel et bien libre de nos actions. Pour Diderot, nos actes suivent donc des impu lsions toujours extérieures à soimême : des impulsions étrangères L'auteur du XVIII ème siècle explique alors que les actions humaines ont toujours un mobile. À la question pourquoi ais-je fait cela une réponse est toujours possible. [...]
[...] Lettre à Landois - DIDEROT L'analyse : Le philosophe Diderot, dans sa Lettre à Landois, nous fait part de la limite que pose le mot liberté. Pour Diderot, les actions humaines sont déterminées par la nature ou des éléments extérieurs à soi : nous ne sommes pas des êtres libres. En effet de regardez-y de près (ligne à de nous invinciblement (ligne l'auteur nous dit que les hommes ne peuvent être libres car c'est la nature qui régie nos actions. [...]
[...] Quoi que l'on fasse, les actes volontaires, que nous pensons être dépendant de soi -même, ne sont en réalité uniquement des actes conditionnés par des facteurs de l'organisation et de l'espace. Diderot à démontrer que les agents extérieurs et intérieurs, qui ont une répercussion sur nos actes, sont des ag ents que l'homme n'en prend plus consciences. Nous sommes donc vraiment libre de nos actions, à condition que nous sachions répondre à la question : pourquoi avons nous agit ainsi. Diderot s'inscrit dans la conception des fatalistes modernes. [...]
[...] L'individu n'est pas plus libre par l'« organisation qui correspond au physique et au mentale de soi. L'homme subi son organisme et ses besoins (uriner par exemple) et son mentale qui le conditionne à faire un acte (se sentir obligé de secourir une personne qui se noie par exemple). Enfin, pour Diderot l'éducation de l'homme à un rôle sur sa liberté tout comme la chaîne d'événements On agit, généralement, par rapport aux autres et par rapport à sa socialisation. À l'école, par exemple, les élèves se dirigent tous vers leur salle de classe dés que la sonnerie retentit. [...]
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