Encyclopédie, Diderot, d'Alembert, souveraineté, Siècle des Lumières, répartition des pouvoirs politiques, religion
Le mouvement de pensées nouvelles ne fut pas brutal, mais plutôt progressif et se fit à différents moments dans l'Europe en entier et continua son chemin en traversant l'Océan atlantique pour parvenir à s'établir dans les courants de pensée des colonies européennes. Le Siècle des Lumières comporte en plusieurs changements révolutionnaires qui permit à la science et à la raison d'évoluer et réussir à faire son chemin dans ce monde hautement religieux. Certains iront jusqu'à dire que pour exister, la raison devait se débarrasser de ce qui l'empêchait d'être : la religion. Toutefois, plus on étudie le phénomène et plus on réalise qu'un certain approvisionnement de la raison se fit par la religion.
[...] 341-359. Jean Mondot. P.38 Tore Frängsmyr. P.49 Madeleine F. Morris. P.2 Madeleine F. Morris. P.3 Madeleine F. Morris. [...]
[...] pour faire connaître que la fin de la souveraineté est la félicité des peuples. On demande quelle est la source prochaine de la souveraineté, & quels en sont les caractères ? Il est certain que l'autorité souveraine, ainsi que le titre sur lequel ce pouvoir est établi, & qui en fait le droit, résulte immédiatement des conventions mêmes qui forment la société civile, & qui donnent naissance au gouvernement. Comme la souveraineté réside originairement dans le peuple, & dans chaque particulier par rapport à soi - même, il résulte que c'est le transport & la réunion des droits de tous les particuliers dans la personne du souverain, qui le constitue tel, & qui produit véritablement la souveraineté ; personne ne saurait douter, par exemple, que lorsque les Romains choisirent Romulus & Numa pour leurs rois, ils ne leur conférassent par cet acte même la souveraineté sur eux qu'ils n'avoient pas auparavant, & à laquelle ils n'avoient certainement d'autre droit que celui que leur donnoit l'élection de ce peuple. [...]
[...] Au tout début, la population française était dirigée entièrement par une succession de roi définissant leur pouvoir comme étant divin et au-dessus de tous soupçons pratiquaient les trois pouvoirs politiques leur assurant l'absolution de la suprématie. Pour par la suite, après la révolution c'est- à-dire, obtenir une république. Ce sont sur ces traits d'états que se basent certains penseurs de l'époque pour définir les limites de l'existence de la souveraineté. Le concept de la souveraineté et les Lumières. Afin d'exister, il est évident que la souveraineté nécessite une autorité souveraine. Celle-ci doit être supérieure afin de pouvoir exécuter ses fonctions. [...]
[...] Certains se soutiennent, d'autres contredisent et parfois, un bon nombre d'entre eux réussissent à se rejoindre sur certains points. En somme, face à ce sujet, les discours de chacun démontrent que l'existence et la performance d'un souverain dépendent de l'état dans lequel il est présent. Un état fort bien construit aura des limitations respectant les biens collectifs de la société tandis qu'un état plus faible concédera l'absolutisme à leur souverain pouvant expliquer ses pouvoirs lui ayant été parvenus de la divinité. [...]
[...] La société civile est le centre du gouvernement et donc de la souveraineté. En fait, le peuple fait en sorte que la souveraineté réside en une personne autoritaire et les gère en leur assurant une certaine protection. La base fondamentale du terme consiste dans le fait que c'« est un pouvoir souverain et indépendant La limitation de la souveraineté dépend de la structure gouvernementale de l'état dans laquelle elle règne. Elle peut se faire, par exemple, par une institution mise en place par la distribution des pouvoirs afin de contrôler et limiter les actions du souverain. [...]
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