Contes, Voltaire, Monde Comme il va, Jeannot et Colin, critique de la guerre, critique de la religion
Il s'agit de 2 contes Le Monde comme il va est un conte oriental. On trouve des éléments merveilleux avec le personnage Ituriel. Il y a beaucoup d'éléments qui « orientalise » le conte. L'histoire se passe en Perse, sur les rivages de l'oxus (l.4). On peut aussi remarquer que le conte est oriental grâce aux origines des personnages. De plus les noms des personnages sont original (Babouc, Ituriel). L'intérêt de placé son conte dans un cadre aussi lointain permet à l'auteur d'évoquer de manière indirecte sa société et de transmettre sa critique. Au contraire le début de Jeannot et Colin est très réaliste avec un cadre spatiale précis Issoire en Auvergne et des personnages banals. Ce sont des paysans qui ont des difficultés d'impôts. Ce sont des personnages types 80% des personnes sont dans leur situation à cette époque.
[...] Dés le début du Monde Comme il va Voltaire en profite pour donner sa vision de la guerre. Il y a beaucoup de guerre 18ème siècle souvent en dehors du territoire mais elles ruinent l'état et la population se rend pas toujours compte des drames qu'elle provoque. Dans Le Monde comme il va Voltaire montre tout d'abord que la guerre parait absurde comme le prouve le fait que ni les soldats ni les officiers ne savent les causes de la guerre. [...]
[...] Bilan sur les contes de Voltaire : Le Monde Comme il va et Jeannot et Colin. Le choix de la forme du conte. Il s'agit de 2 contes Le Monde comme il va est un conte orientale. On trouve des éléments merveilleux avec le personnage Ituriel. Il y a beaucoup d'éléments qui orientalise le conte. L'histoire se passe en Perse, sur les rivages de l'oxus (l.4). On peut aussi remarquer que le conte est oriental grâce aux origines des personnages. [...]
[...] Le monde rural est représenté par Colin qui mène une vie simple et qui reste fidèle à son ami même dans la difficulté. Le monde parisien est représenté par la jeune veuve qui ne pense qu'à l'argent qui épouse Jeannot que par intérêt et qui le rejette quand il est sans argent. Cette société parisienne est aussi représentée par le précepteur que Voltaire appelle le Gracieux ignorant car ce dernier considère que pour réussir il faut plaire et que tout s'achète. Voltaire conclu que le bonheur n'est pas dans la vanité. [...]
[...] Voltaire fait l'éloge du théâtre au détriment de la religion. Dans Jeannot et Colin le confesseur de Madame préfère s'occuper d'une dame de la cour fortunée plutôt que d'aider ce qui connaisse des difficultés. C'est une vision de la religion négative. Apprentissage du discernement Babouc apprend à nuancer son jugement et se rend compte que sous le mal peut se cacher du bien. La statue qu'il construit à la fin du roman montre qu'il a su nuancer les choses et voir les qualités et les défauts des habitants de Persépolis. [...]
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