Dans ce texte, nous pouvons distinguer trois parties notamment une en début de texte ou l'auteur définit ce qu'est la substance au sens philosophique, puis une seconde sur le fait que le moi est une substance immuable au cours du temps et aussi par rapport aux divers phénomènes. Pour terminer, nous verrons les intentions de l'auteur à faire différencier la substance matérielle et la substance au sens philosophique aux lecteurs. Néanmoins, ce n'est pas son seul objectif puisqu'il souhaite nous faire prendre conscience qu'en chacun de nous, il y a une substance qui nous rend unique.
[...] Cela est essentiellement pour nous montrer qu'on change au cours de notre vie mais que cependant le moi ce que chacun de nous avons, reste identique à ce qui nous définit la substance ‘'. Bergson souhaite donc nous faire prendre conscience qu'en chacun de nous, il existe une substance, unique, que tout le monde peut à travers le travail de la conscience, en avoir accès. La substance fait de chaque personne quelqu'un d'unique. Il montre par ailleurs en opposant la substance matérielle à la substance philosophique, que derrière les aspects physiques, moraux d'un Homme, il y a quelque chose d'autre, le moi que l'objet ne possède pas. [...]
[...] Finalement quand Bergson dit Un objet matériel n'est donc pour nous qu'une agglomération de qualités ; mais il n'est pas ainsi par le moi on comprend donc que Bergson a souhaité mettre en scène la substance matérielle afin que les lecteurs puissent bien faire la différence entre ces deux genres de substances. Cependant, le texte laisse transparaître une autre idée de l'auteur. On peut voir de suite, tout au long du texte que Bergson souhaite avant tout captiver, et rendre intéressant ces propos et pour cela, celui- ci choisit d'inviter le lecteur à penser et à débattre du sujet. On remarque entre autre que par cela qu'il intercale certains pronoms personnels ‘'nous''. [...]
[...] Dans ce texte que nous pourrions intituler La substance une entité immuable que notre conscience perçoit et que chacun de nous appelle je ou moi ‘'.Bergson célèbre philosophe et diplomate français s'interroge sur les propriétés de la substance, le moi. La thèse défendue par Bergson outre la définition de la substance au sens philosophique et le fait que se soit une entité immuable, il nous fait par ailleurs différencier la substance au sens philosophique et la substance matérielle. Dans ce texte, nous pouvons distinguer trois parties notamment une en début de texte ou l'auteur définit ce qu'est la substance au sens philosophique, puis une seconde sur le fait que le moi est une substance immuable au cours du temps et aussi par rapport aux divers phénomènes. [...]
[...] Celui-ci veut en réalité nous faire prendre conscience que malgré notre évolution, au fil du temps, cela n'altère en rien la substance, le moi, c'est le même être quelque soit la date considérée. Je dis toujours je ou moi en parlant de cet être d'autrefois et c'est bien le même moi ‘'. La substance est immuable. Néanmoins le temps n'est pas le seul point sur lequel la substance peut être immuable. Celle-ci est aussi immuable par rapport aux phénomènes. On a pu voir précédemment que Bergson faisait référence au fait que la substance peut être inaltérable vis-à-vis du temps. [...]
[...] Ainsi la conscience nous révèle l'existence d'une substance que chacun de nous appelle je ou moi. Il est facile de montrer que non seulement le moi nous apparaît comme substance, mais que de plus c'est la seule substance que nous connaissions. On parle souvent de la substance matérielle. Les corps qui nous entourent, que nous voyons, que nous touchons, nous font l'effet de substances, mais une analyse même peu approfondie nous fait voir bien vite que nous ne connaissons de la matière que des qualités, que nous n'atteignons pas, que nous n'atteindrons jamais la substance ou comme on dit le substratum qui les suit. [...]
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