Dans cet extrait composé de trois paragraphes du livre X, de l'Éthique à Nicomaque d'Aristote, on retrouve le sujet du bonheur. Le bonheur de la connaissance et du loisir qui représente la vertu éthique et intellectuelle parfaite de l'homme. Pour Aristote, l'homme doit agir selon la raison. La vertu éthique est celle de la partie irrationnelle tandis que la partie intellectuelle correspond à la partie rationnelle de la pensée.
[...] Aristote a expliqué dans ce texte de quelle manière l'homme de vertu pouvait atteindre le bonheur et le savoir. Ce qui conduit à son propre plaisir. Ce texte s'oppose à la morale kantienne qui divise la morale du bonheur, et il est particulier par rapport à d'autres philosophes puisqu'il utilise une méthode pour arriver à ses fins. [...]
[...] Aristote avance avec un raisonnement qui demande quel est le type d'actes le plus approprié pour réaliser des actes courageux ; il cite la « guerre » à plusieurs reprises fois dans le texte) Comment le texte prend-il une position caractéristique dans un débat, soutient un « paradoxe » (ou une polémique) remarquable ? Souligner son intérêt Pour lui, c'est dans la contemplation et la vertu intellectuelle que se trouve le vrai bonheur. Alors que la vertu éthique apparaît comme une vertu ordinaire. Son intérêt étant l'élévation par le savoir et les connaissances qui sont de l'ordre divin. [...]
[...] La première c'est le bonheur intellectuel. Pour la deuxième partie il s'agit du rêve du bonheur parfait. Le point du départ étant « l'activité rationnelle ». Les moments de sa progression être heureux en obtenant des connaissances et en poursuivant le savoir ; être heureux en possédant des loisirs ce qui mène à une « vie active ». Enfin, le passage à des actes concrets comme l'art politique, ou la guerre qui sont des actions de vertu éthique et réaliser le poids important de la vertu intellectuelle qui dépasse la vertu éthique et qui représente le bonheur idéal Reprendre dans l'ordre chaque « partie » : expliquer sa fonction logique, et la raison de ce qui s'y trouve écrit ; expliciter son contenu, le sens des énoncés ; préciser et analyser exactement les termes utilisés, clarifier et définir les concepts ; faire ressortir les distinctions et les oppositions Le bonheur intellectuel « L'activité rationnelle » ; « le savoir » ; « intellect » ; « connaissable » ; « contemplation » ; « plaisir » ; « composition du bonheur » ; « sagesse » ; « vertu » ; « connaissance » ; « poursuite du savoir ». [...]
[...] Rappelons que la raison est indispensable pour discerner le bien du mal. On retrouve la notion de « raison » chez Descartes. Il l'appelle « le bon sens » qui est « la chose du monde la mieux partagée ». On a aussi le célèbre cogito de Descartes « je pense, donc je suis » qui consiste à remettre en doute, et détruire les préjugés sur toutes les croyances et toutes les certitudes déjà reçues dans le but d'arriver à la vérité et reconstruire le savoir. On peut aussi penser à Kant qui explique dans la Critique de la raison pure que la foi est compatible avec la raison et l'action morale. [...]
[...] Éthique à Eudème - Aristote I. Introduction « Premier axe » : Les propos, l'objet et le problème 1. Présenter les propos de l'auteur 1. L'objet du texte : de quoi parle le texte Dans cet extrait composé de trois paragraphes du livre de l'Éthique à Nicomaque d'Aristote, on retrouve le sujet du bonheur. Le bonheur de la connaissance et du loisir qui représente la vertu éthique et intellectuelle parfaite de l'homme. Pour Aristote, l'homme doit agir selon la raison. La vertu éthique est celle de la partie irrationnelle tandis que la partie intellectuelle correspond à la partie rationnelle de la pensée Les domaines concernés, les notions et les concepts en cause Aristote pose le bien comme objet de la condition humaine. [...]
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