La mort de son père alors qu'il n'a que sept ans le bouleverse au point que son oeuvre restituera plus tard la figure grandi de ce père tôt disparu. Passionné d'écriture, il se lie d'amitié avec Paul Cézanne (...)
[...] Il serait mort asphyxié dans sa maison à cause, d'une main criminelle qui en aurait bouché la cheminée. Une foule immense rendit hommage lors de ses obsèques à celui qui avait mis en jeu sa notoriété au nom de la morale. Œuvres Contes à Ninon (contes) principale -Une page d'amour (1878) s Thérèse Raquin (roman) -Nana (1880) Le roman expérimental 1880 (textes théoriques) Pot-Bouille (1882) Madeleine (théâtre) -Au Bonheur des Dames (1883) « J'accuse » in l'Aurore ,13 juillet 1895 -La Joie de vivre (1884) La série des Rougons-Macquarts (vingt romans) -Germinal (1885) -La Fortune des Rougon (1871) L'Œuvre (1886) -La Curée (1872) La Terre (1887) -Le Ventre de Paris (1873) Le Rêve (1888) -La Conquête de Plassans (1874) -La Bête humaine (1890) -La Faute de l'abbé Mouret (1875) -L'Argent (1891) -Son Excellence Eugène Rougon (1876) -La Débâcle (1892) -L'Assommoir (1877) -Le Docteur Pascal (1893) Thèmes, Le romantisme puis le naturalisme et le scientisme, Zola est passionné sujets par la science et s'inspire de l'hérédité dans les différentes classes de abordés la population (classe ouvrière, bourgeoisie, cf. [...]
[...] Etapes de D'abord employé à la douane comme employé aux écritures, en 1862 il sa commence à travailler aux éditions Hachette comme commis puis comme chef carrière, de publicité, c'est ainsi qu'il parvient à entretenir des relations avec activités les personnalités de l'époque. Dès 1863, Zola devient journaliste en exercées publiant des articles (critiques, chroniques, quelques un de ses textes). Il ne cessera son travail de journaliste qu'en : il publie un recueil de contes : les Contes à Ninon : il quitte les éditions Hachette. [...]
[...] Son premier succès vient en 1867 avec son roman Thérèse Raquin. Il ne participe pas à la guerre de 1870 et c'est après que commence vraiment sa carrière littéraire. Il devient alors ami avec Flaubert, les frères Goncourt, Daudet La fortune des Rougons (1871) est la base de l'édifice des Rougon-Macquart. En 1877 est publié l'Assommoir qui rencontre un énorme succès. Cependant, en 1887 paraît un pamphlet contre lui et ses idées (hérédité ) : le Manifeste des Cinq. En 1895, indigné par la dégradation du capitaine Dreyfus, le 5 janvier 1895, il publie le 13, dans l'Aurore, son célèbre article « J'accuse ».Condamné à un an de prison et à une amende, il en réchappe en s'exilant à Londres en juillet 1898. [...]
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