Molière vécu pendant les temps modernes période allant de la fin du Moyen-âge, quand Christophe Colomb découvre l'Amérique, jusqu'à la fin de la Révolution française (1492 à 1792). L'époque moderne se réfère à l'Antiquité, dit l'époque classique. Les temps modernes représentent l'union de l'Amérique au reste du monde, le développement de ce dernier ainsi que la renaissance artistique, littéraire et scientifique.
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De son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, Molière nait à Paris le 15 janvier 1622. Il grandit dans une famille bourgeoise. Son père était le tapissier du roi Louis XIII et sa mère mourut alors qu'il avait 10 ans. Son père se remaria et il eut cinq autres enfants.
Jean Baptiste fut élève au collège de Clermont jusqu'en 1637, l'un des établissements les plus huppés de la capitale. Il y fit de très bonnes études puis étudia le droit, à Orléans, pour devenir avocat. Plus tard, il renonça à reprendre la charge de son père en vers le roi. Et contre l'avis de celui-ci, Jean-Baptiste laissa de côté sa carrière juridique et il débuta dans le théâtre en 1643.
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En débutant dans le théâtre, il se lia avec une famille de comédiens, les Béjart, et fondèrent en 1643, une troupe appelait L'illustre Théâtre. L'année suivante, il prit la direction de la troupe, sous le nom de Molière, on ne sait toujours pas d'où vient ce nom. Il devint donc acteur, dramaturge, metteur en scène et directeur de troupe. Il écrit et mit en scène, en moyenne, deux comédies par an. Début janvier 1644, la troupe commença à devenir connue en province. Mais en octobre, elle fit faillite. Certains comédiens l'abandonnèrent pour des troupes rivales et Molière fut emprisonné à Paris. Une fois Molière libéré, la troupe repartit en province pour monter sur scène pendant neuf ans, de 1646 à 1657 (...)
[...] Contrairement à ce que certains pensaient, la double carrière d'acteur et d'auteur de Molière, fut une réussite exceptionnelle. Les difficultés qu'il rencontra en tant que directeur de troupe et d'écrivain ne doivent pas occulter car il connu un énorme succès de son vivant aussi bien auprès du public comme la Cour par exemple qu'auprès des autres écrivains. L'héritier de la comédie italienne Outre ses farces, Molière était avant tout un grand moraliste : Je ne sais s'il n'est pas mieux de travailler à rectifier et à adoucir les passions des hommes que de vouloir les retrancher entièrement Et son but était d'abord de faire rire les honnêtes gens Pour cela, il réalisa des pièces représentant des sujets de la vie quotidienne à travers l'humour. [...]
[...] Molière composa ses farces sur le modèle italien. Il prit aux Italiens leurs jeux de scène, la structure de leurs pièces ainsi que la manière de se vêtir et de mimer. Et copie certains personnages de la comédie italienne. Il s'inspira aussi d'une pièce d'une troupe italienne, la commedia dell'arte et c'est comme cela qu'il connu Tiberio Fiurelli qui lui donna des conseils et des cours de comédie. Molière créa ses œuvres en mélangeant différentes cultures. Il utilisa la comédie italienne, la farce gauloise, la tragédie espagnole et la comédie psychologique. [...]
[...] Il devint donc acteur, dramaturge, metteur en scène et directeur de troupe. Il écrit et mit en scène, en moyenne, deux comédies par an. Début janvier 1644, la troupe commença à devenir connue en province. Mais en octobre, elle fit faillite. Certains comédiens l'abandonnèrent pour des troupes rivales et Molière fut emprisonné à Paris. Une fois Molière libéré, la troupe repartit en province pour monter sur scène pendant neuf ans, de 1646 à 1657. En 1658, la troupe retourna à Paris et joua devant le roi Louis XIV. [...]
[...] Molière, jeune De son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, Molière nait à Paris le 15 janvier 1622. Il grandit dans une famille bourgeoise. Son père était le tapissier du roi Louis XIII et sa mère mourut alors qu'il avait 10 ans. Son père se remaria et il eut cinq autres enfants. Jean Baptiste fut élève au collège de Clermont jusqu'en 1637, l'un des établissements les plus huppés de la capitale. Il y fit de très bonnes études puis étudia le droit, à Orléans, pour devenir avocat. [...]
[...] En 1817, la dépouille fut transférée au cimetière du Père-Lachaise. En 1680, sur ordre du roi, la troupe de Molière fusionna avec une autre troupe pour fonder la Comédie-Française. Molière connut de grands succès mais aussi de nombreux échecs. Il était à la fois adoré par ses amis et détesté par un grand nombre d'ennemis. D'une part, on le comblait de compliments, d'autre part on l'accablait de reproches. Cependant, il demeure toujours un des plus grands écrivains français par la façon dont il maniait ses vers mais aussi parce qu'il faisait rire. [...]
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