Gabriel Garcia Marquez est un écrivain colombien qui a reçu le prix Nobel de la littérature en 1982.
Il est né en Colombie, le 6 mars 1928, dans la province de Magdalena. Comme le héros de L'amour au temps du choléra, son père était télégraphiste. Sa mère, Luisa Santiaga Marquez venait de la bourgeoisie. Il est pourtant élevé par ses grands parents maternels qui l'inscrivent dans un pensionnat, dans la ville de Barranquilla (...)
[...] Il est très proche de son grand père, et fut que lui racontait sa grand-mère la nuit. Brillant élève, il reçoit une bourse à son entrée dans ce pensionnat et se verra même envoyé dans un lycée de Jésuites, spécialisé pour les élèves surdoués : Le Liceo Nacional de Zipaquira proche de la capitale colombienne. Il passe son baccalauréat dans cet établissement en 1946 puis s'installe près de Bogota pour étudier le droit en 1947 : il a alors 20 ans. [...]
[...] à écrire : c'est l'époque de l'écriture de La Mala Hora. En 1958, il visite de nombreux pays avant de regagner son pays Plus tard, il travaille à la Havane et à New York pour le bureau d'informations qu'il a ouvert à Bogota avec un ami peu après la révolution cubaine. Son travail ne lui permettra 2 cependant pas de s'épanouir car il démissionne peu après et part en 1961 s'installer au Mexique. C'est là bas, en 1965, qu'il écrira Cent Ans de solitude, qui connait un succès énorme à Buenos Aires en 1967 et propulse bientôt son auteur au niveau d'auteur de génie. [...]
[...] Dès lors, il devient un écrivain reconnu et populaire et obtient le prix Nobel de la littérature en 1982 pour l'ensemble de son œuvre. Sa popularité dépasse alors les frontières de la Colombie : il devient célèbre dans toute l'Amérique Latine, et aussi en Europe. Politiquement, il ne cache pas son soutien actif pour les mouvements révolutionnaires d'Amérique latine : il a même financé grâce à un grand prix littéraire la campagne du M.A.S au Venezuela (Mouvement vers le socialisme). Il est également un sympathisant du dirigeant Fidel Castro. [...]
[...] Il y publiera de nombreuses nouvelles jusqu'en 1952. L'université dans laquelle il poursuit ses études de droit et de journalisme ferme peu après l'assassinat du leader 1975 - L'Automne du patriarche (El otoño del patriarca) 1981 - Chronique d'une mort annoncée (Crónica de una muerte anunciada) politique Jorge Eliécer Gaitan, il décide alors de rejoindre sa famille et de devenir journaliste. Il vivote comme journaliste à El Espectador et découvre alors les plus grands classiques de la littérature (Hemingway, Virginia Woolf, Kafka qui renforcent son désir d'écrire. [...]
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