Jean Nicolas Arthur Rimbaud est né le 20 octobre 1854 à Charleville, dans les Ardennes françaises. Son père, Frédéric Rimbaud, est capitaine d'infanterie et a été récompensé de la légion d'honneur après la campagne d'Algérie. Il a épousé Vitalie Cuif, fille de paysan Ardennais. De leur union naîtront cinq enfants : Frédéric, Arthur, Victorine, décédée à l'âge d'un mois, Vitalie et Isabelle. Peu de temps après la naissance de son dernier enfant, Frédéric laisse sa famille dans la misère pour rejoindre son peloton de bataille. Vitalie Cuif emménage alors dans un taudis rue Bourbon, Arthur a 7 ans. Dès l'année suivante, il fréquente l'Institut privé Rossat à Charleville.
En 1969, il rentre au collège, où il rencontrera Ernest Delahaye, son aîné d'un an, avec qui il tisse une amitié forte qui le suivra toute sa vie (...)
[...] Vitalie Cuif emménage alors dans un taudis rue Bourbon, Arthur a 7 ans. Dès l'année suivante, il fréquente l'Institut privé Rossat à Charleville. En 1969, il rentre au collège, où il rencontrera Ernest Delahaye, son ainé d'un an, avec qui il tisse une amitié forte qui le suivra toute sa vie. Les professeurs remarquent très vite qu'il a une forte ambition littéraire et l'encouragent immédiatement. Il remporte d'ailleurs le prix d'un concours grâce à trois compositions écrites en latin. Il écrit même ses premiers vers en français à cette époque avec Les étrennes des orphelins. [...]
[...] Juillet 1887, Rimbaud est épuisé, vieilli et malade. Il écrit à sa famille dans une lettre le 23 aout en disant : J'ai les cheveux absolument gris. Je me figure que mon existence périclite Il envoie une autre lettre au directeur d'un journal local, le Bosphore égyptien il y raconte son voyage en Abyssinie et au Harar. Il se plaint de rhumatismes et son genou gauche le fait souffrir. Il écrira malgré cela un nouveau travail sur l'intérêt économique de la Choa à la Société de géographie. [...]
[...] Il partira pour plusieurs pays mais arrive finalement à Alexandrie et décide de chercher du travail. Fin de l'année, il atteint Chypre ou il obtient un emploi de chef de chantier au service d'une maison française. En juin 1879, Rimbaud est épuisé par une fièvre typhoïque. Il se fera soigné en France, regagne la ferme de la Roche. Rimbaud explique même à son ami Delahaye qu'il ne pense plus à la poésie. L'an d'après, il regagne Chypre. Il est embauché dans une entreprise chargée d'édifier un palais destiné au gouverneur britannique. [...]
[...] Page consultée le 20 mai 2009. Illuminations http://www.mag4.net/Rimbaud/poesies/Angoisse.html. Origine : http://www.mag4.net./. Page consultée le 20 mai 2009. [...]
[...] La veille de sa mort, il dicte, délirant, une lettre adressée au directeur des Messageries Maritimes : Je suis complètement paralysé, donc je désire me trouver de bonne heure à bord, dites-moi à quelle heure je dois être transporté à bord Rimbaud meurt le 10 novembre 1891, il est âgé de trente-sept ans. Il sera enterré le 14 au cimetière de Charleville. Bibliographie Wikipedia, l'encyclopédie libre, Arthur Rimbaud http://fr.wikipedia.org/wiki/Arthur_Rimbaud. Origine : http://fr.wikipedia.org/. Page consultée le 15 mai 2009. D. Deramecourt, Biographie de Rimbaud http://www.alalettre.com/rimbaud-bio.php. Origine : http://www.alalettre.com/. Page consultée le 15 mai 2009. Catherine, Du poète à l'aventurier http://www.mag4.net/Rimbaud/Biographie.html. [...]
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