André-Marie Ampère naît dans une famille bourgeoise à Lyon le 20 janvier 1775 ; il a une grande soeur, Antoinette.
Il passe son enfance dans une ferme à Poleymieux-au-Mont-d'Or.
Dès son plus jeune âge, Ampère avait une grande soif d'apprendre : il calculait déjà de longues sommes avec des cailloux avant même de savoir lire. Son père lui apprit le latin mais son domaine favori était celui des sciences (...)
[...] Il publie alors son premier mémoire important, Considérations sur la théorie mathématique du jeu qui montre, dit-il, que la passion du jeu conduit ceux qui s'y livrent à une ruine inévitable. Avec son épouse, il a un fils qu'il prénommera Jean-Jacques en hommage à son père. Julie meurt en 1804, l'année où il est nommé professeur à Lyon. André-Marie Ampère a une seconde épouse, Jeanne-Françoise Potot avec laquelle il eut une fille : Albine Ampère. Le Scientifique En 1809, Ampère devient professeur à l'école polytechnique de Paris. Jusqu'en 1820, on connaît l'électricité uniquement grâce à la pile de Volta. On connaît aussi le magnétisme. [...]
[...] L'Inventeur Ses travaux amènent Ampère à réaliser lui-même des montages. Certains, comme l'ampèremètre pour la mesure de l'intensité ou le voltmètre pour la mesure de la tension sont à la base d'appareils aujourd'hui utilisés. Parmi les dispositifs les plus connus, on peut citer: La boussole astatique : deux petits aimants identiques disposés en sens inverse. Ce montage permet d'éliminer l'influence du champ magnétique terrestre et donc d'augmenter la sensibilité d'appareils (comme le galvanomètre, sorte d'ampèremètre) destiné à mesurer le champ magnétique de certains circuits. [...]
[...] Ses débuts André-Marie Ampère naît dans une famille bourgeoise à Lyon le 20 janvier 1775 ; il a une grande sœur, Antoinette. Il passe son enfance dans une ferme à Poleymieux-au-Mont- d'Or. Dès son plus jeune âge, Ampère avait une grande soif d'apprendre : il calculait déjà de longues sommes avec des cailloux avant même de savoir lire. Son père lui apprit le latin mais son domaine favori était celui des sciences. D'une très grande curiosité, à quatorze ans, il a le courage de lire tous les volumes de l'Encyclopédie de Diderot dont il pouvait réciter des chapitres entiers. [...]
[...] C'est lui qui est à l'origine de toutes les applications électriques. Ampère est mort en 1836 à Marseille et enterré à montmartre à Paris. Son nom a été donné à l'unité de mesure de l'intensité du courant Lyon lui rend hommage . par une place, un Collège et un Lycée, dans le 2e arrondissement par un Club d'Astronomie par le Musée de l'Electricité, à Poleymieux Bibliographie -Quid 2007 de Dominique et Michèle Frémit, Ed. Robert Laffont -Encyclopédie Universelle -Wikipédia.fr -Les Monts-d'Or ou le prix d'un choix de Gérard PACROS. [...]
[...] Ampère y assiste. Alors qu'un fort courant traverse un fil électrique, il voit que l'aiguille de la boussole ne pointe plus vers le nord. A partir de cette expérience que personne, pas même Oersted, n'a pu comprendre, Ampère crée la notion de tension et de courant auquel il attribue un sens démontré par le bonhomme d'Ampère permettant de prédire le sens de la déviation de la boussole : le bonhomme est couché sur le conducteur; le courant qui, par convention, se dirige du pôle plus au pôle moins, parcourt le bonhomme des pieds à la tête; il a les yeux dirigés vers l'aiguille aimantée et lève le bras gauche. [...]
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