Primates, homme, singe, chimpanzé, paléocène, Tétonius, gène HAR1, gène ASPM, gène FOXP2, gène MYH16
Les primates représentent un grand groupe constitué de plusieurs espèces.
Le premier primate est apparu aux alentours de -60 millions d'années, on l'a nommé Tétonius. Ce groupe n'est pas ancien, car il date du Paléocène.
Les Primates possèdent une zone d'habitation bien définie, en effet ils vivent dans les régions intertropicales humides dans des forets, se sont des animaux arboricoles.
[...] Pendant la période de l'Oligocène, l'espèce se raréfie car il y a un gros réchauffement climatique. Suite à cela, on observe une phase de dilatation où le nombre d'individu de ce groupe augmente. On va s'intéresser aux caractéristiques anatomiques des Primates. Tout d'abord ils possèdent un pouce opposable et des ongles, les yeux sont côte à côte se qui a permis de développer une vision plus importante et on remarque une proéminence de leur cerveau. Dans ce groupe des Primates, un sous groupe est constitué appelé les grands singes (Gorilles, Chimpanzés, Gibbon, Orang-outan, etc) ? [...]
[...] Chez l'Homme, il y a une conservation des caractères juvéniles ou anténatales, c'est ce que l'on appelle la néoténie, c'est lorsqu'il y a une conservation des caractères que l'on possède en état embryonnaire. On atteindra jamais les caractères adultes car l'Homme préhistorique les a perdu petit a petit. Ceci s'explique avec le durée pendant laquelle les gènes architectes s'expriment. En effet chez l'Homme, ils s'expriment lentement et longtemps, cela a entraîné la disparition des caractères adultes. Les différences morphologiques concernent peu de gène. [...]
[...] L'ancêtre commun avait soit 2N=46 chromosomes donc il y a eu une scission pour le chromosome 2 ou cet ancêtre avait 2N=48 chromosomes donc il y a eu une fusion. Cependant les parents éloignés du Singe avait 2N=48 chromosomes donc dans l'Histoire il y a eu une fusion des chromosomes. On a de similitudes génétiques et très peu de gène différents entre l'Homme et le Chimpanzé. III/ Rôle des gènes du développement Pour le Chimpanzé, la phase embryonnaire est plus courte mais la phase fœtal est plus longue par rapport à l'Homme. [...]
[...] Il y a quatre gènes qui ne possèdent pas la même informations pour l'Homme et le Chimpanzé. Tout d'abord le gène ASPM, un gène architecte, contrôle la multiplication des neurones. Si il agit très vite mais peu longtemps alors il n'y aura pas beaucoup de neurones (Chimpanzé) par contre si il agit lentement mais longtemps alors il y aura beaucoup de neurones (Homme). Ensuite le gène HAR1 contrôle la régulation de la structuration du cortex, il n'a pas d'action sur le Chimpanzé mais provoque un très grand développement du cerveau chez l'Homme. [...]
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