Débris de l'espace, spatial, critique du film Gravity, Romain Le Vern, Les déchets dans l'espace de Robin des Bois, Astronomie Québec, Doug Turnbull, catastrophe spatiale, satellite
Il s'agit d'un dossier de synthèse portant sur les documents suivant :
Doc.1 : critique du film Gravity (2013) par Romain Le Vern;
Doc.2 : extrait (p.33-36) du rapport Les déchets dans l'espace de Robin des Bois, juin 2011;
Doc.3 : article de revue scientifique de vulgarisation Astronomie Québec (juin/juil. 2015, vol. 4/1, p. 4-6) par Doug Turnbull.
[...] C'est aussi ce que veut nous montrer le document 1 avec l'explosion d'une navette spatiale et les débris que cette catastrophe a produits. Le document 3 évoque même une zone de débris d'origine humaine flottant en orbite autour de la Terre ainsi qu'une autre zone de déchets de même nature formant un anneau au-dessus de l'Equateur . UN ESPACE BONDE Mais c'est sans compter tous les satellites en orbite basse ou en orbite géostationnaire en plus de ces déchets spatiaux, qui gravitent autour de notre Terre. [...]
[...] Le scénario envisagé, que les orbites basses ne seront bientôt plus navigables, montre l'urgence à gérer l'encombrement des déchets spatiaux, voire à les limiter en obligeant les satellites et les navettes à prévoir que leurs déchets brûlent lors de leur rentrée dans l'atmosphère. L'expérience des premiers pas sur la Lune doit servir à ne pas reproduire les mêmes erreurs lors de la conquête de futures planètes, comme celle de Mars. Et nos actes ne doivent pas nous condamner à rester enfermés dans une ceinture de débris spatiaux, mais à limiter la pollution de notre espace. [...]
[...] Il y a urgence à encadrer ces pratiques de rejets de déchets technologiques dans l'espace et à prendre soin de l'espace comme de notre planète Terre. LES TRACES LAISSEES PAR L'HOMME DANS L'ESPACE Depuis juillet 1969 et les premiers pas sur la Lune, la concurrence a toujours été rude entre les équipages des missions Apollo et Luna. Les Etats-Unis et l'URSS n'ont de cesse depuis 1958 d'envoyer des sondes, pesant de plus en plus lourd à mesure des avancées technologiques. [...]
[...] En effet cet accident résulte d'une collision entre le satellite commercial de communication IRIDIUM 33 et le satellite russe inactif de communications militaires KOSMOS 2251. Le résultat en a été la destruction totale du satellite américain pourtant en bon état de marche, générant ainsi plus d'une centaine d'objets ayant probablement rejoint les nombreux autres débris spatiaux déjà en orbite. L'article fait état d'une théorie élaborée par un scientifique de la NASA qui prédit un probable effet de cascade appelé « syndrome de Kessler », où chaque collision provoquerait de nombreux projectiles eux-mêmes sujets à d'autres collisions, et donc à d'autres projectiles. [...]
[...] Dossier de synthèse : Gérer les débris de l'espace : un nouvel enjeu humain L'humain, dans sa course effrénée à la conquête spatiale, détériore la nature et la pollue sans malheureusement mesurer toujours les conséquences de ses actes. Que ce soit sur terre, sur mer comme dans l'espace, le problème des déchets reste une urgence absolue à gérer. La gravité de cette pollution transparaît dans le dossier intitulé « Les débris spatiaux ». Trois documents nous montrent l'importance de la prise en compte des déchets qui jonchent l'espace: la critique du film Gravity de 2013, par Romain Le Vern (document un extrait (p. [...]
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