Document de 10 pages au format Word réalisé dans le cadre des TPE et contenant toutes les connaissances de base à acquérir pour comprendre le mécanisme cyclonique. Il est illustré par des schémas, des tableaux, des photos qui permettent de mieux comprendre le sujet.
[...] L'intensité du cyclone est déterminée par la force du vent maximum qu'il engendre. On distingue trois catégories de perturbations cycloniques selon l'intensité de ces vents : Dépression tropicale : Lorsqu'une perturbation prend une forme tourbillonnaire et que ses vents sont inférieurs à 63 km/h, elle prend le nom de dépression tropicale. Les services météorologiques lui affectent un numéro afin de pouvoir l'identifier. Tempête tropicale : Lorsque cette dépression tropicale atteint des vents entre 63 et 118 km/h, elle est classée tempête tropicale et on lui affecte le premier nom disponible dans la liste prédéfinie (voir les noms des cyclones). [...]
[...] Le système doit aussi posséder une zone de divergence en haute altitude qui permet à l'air humide de surface de s'évacuer et d'établir ainsi un équilibre à l'intérieur de la perturbation. Une fois ces deux éléments acquis, trois autres conditions vont intervenir dans la réalisation du cyclone. Une condition géographique : la perturbation doit se trouver à plus de 5 degrés de l'équateur (nord ou sud) pour que la force de Coriolis puisse agir (voir phase 4). Elle est responsable du fait que, dans l'hémisphère sud, les vents tournent dans le sens des aiguilles d'une montre autour du cyclone et que, dans l'hémisphère nord, ils tournent dans le sens inverse. [...]
[...] Au niveau de l'océan, l'air marin humide est attiré vers la zone dépressionnaire de l'œil en décrivant une spirale de plus en plus rapide : il se heurte à l'air descendant de l'œil et se trouve expulsé autour de l'œil, provoquant la formation d'énormes murs nuageux. A haute altitude, l'air est évacué vers l'extérieur du cyclone. La température augmente à l'approche de l'œil mais diminue avec l'altitude. Les dégât provoqués par Katrina. VENTS DE + DE 118 km/h Image satellite de l'océan Atlantique, le 24 août 1995. [...]
[...] Le dernier bassin de l'hémisphère Nord, celui du nord de l'océan Indien est l'un des plus petits et des moins fournis en cyclones avec seulement 5 dépressions et tempêtes tropicales qui ont lieu durant deux périodes : mai-juin et octobre-novembre. Mais malheureusement les cyclones sont très dévastateurs lorsqu'ils atteignent l'Inde, le Sri Lanka ou encore le Bangladesh, d'une part à cause des fortes densités de population et d'autre part de la faible élévation des côtes. Ainsi le cyclone de Bhola de 1970 fit victimes. L'hémisphère Sud compte les trois derniers bassins. Les cyclones du bassin sud-ouest de l'océan Indien frappent Madagascar, le Mozambique, l'île de la Réunion, l'île Maurice et le Kenya entre décembre et avril. [...]
[...] Mais pourquoi une telle différence ? ZONE DE VITESSE MAXIMALE DU VENT Nom de la société Adresse Code postal, Ville 22134 Les 7 bassins cycloniques Cyclone est un terme général. En fonction de la localisation géographique, la dénomination change : - cyclone dans l'océan Pacifique sud-ouest et nord et l'océan Indien sud- ouest ; - ouragan (de Hunraken, dieu maya de la tempête) dans l'océan Atlantique nord et l'océan Pacifique nord-est et sud-ouest - typhon (du chinois t'ai fung, grand vent dans l'océan Pacifique nord-ouest - le cyclone est aussi appelé kamikaze vent divin au Japon - badai en Indonésie - willy-willy en Australie - baguio aux Philippines. [...]
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