Bien que la vision des étoiles dans le ciel nocturne ait toujours été source des rêves les plus fous, il faudra attendre le XXème siècle et l'acharnement pour la recherche et le développement scientifique à la suite, entre autres, des guerres mondiales et de la Guerre froide, pour que ce rêve devienne enfin réalité. En effet de nombreuses années de recherches ont amené à l'invention de la fusée.
[...] La pression étant alors plus élevée sur la face avant que sur la face arrière, le corps est alors projeté en avant. La force de pression exercée sur la face avant est proportionnelle au poids des gaz éjectés et à leurs vitesses d'éjections. Le rôle de la chambre à combustion est donc comme son nom l'indique de provoquer une réaction de combustion via les propergols qui lui sont envoyés. Lorsqu'ils arrivent dans la chambre, l'allumage s'enclenche provocant donc la réaction de combustion. [...]
[...] Le moteur d'une fusée peut-être présenté en 3 parties. D'une part de deux réservoirs de stockage des composants propulsifs de la fusée. D'autre part, la chambre à combustion et la tuyère. Et enfin, de systèmes de pompages (injecteurs) qui ont pour rôle d'injecter les composants propulsifs vers la chambre à combustion. Le propulsif d'une fusée consiste en un carburant et un comburant, ce sont les composants propulsifs et ils sont souvent liquides. La combustion de ces deux composés est dite chimique et on les nommera chacun ergols, tandis que le composé des deux se nommera propergol. [...]
[...] I Histoire de la fusée : Les origines L'origine des fusées remonte à 1232. Pendant la bataille de Kaifeng, les Chinois repoussèrent les Mongols grâce à l'aide de flèches de feu volant Après la bataille de Kaifeng, les Mongols produisirent leurs propres fusés, et pourraient avoir été responsables de leur introduction en Europe. Au XIIIe siècle le livre arabe "Kitâb al-furussia wal munassab al-harbiya" illustre l'utilisation de fusées lors de combats. Il se peut qu'elles aient été utilisées par les arabes lors des septièmes croisades. [...]
[...] Elle permet à un satellite (ou fusée) de se maintenir en orbite autour d'un corps. Dut au fait d'une vitesse élevée telle que la force centrifuge compense son poids. Il est donc pseudo-isolé, c'est pourquoi sa vitesse reste constante. Le satellite n'est pas en apesanteur mais il est en permanence en train de tomber, mais grâce à sa vitesse il tombe "à côté" de la Terre. Sans le frottement de l'air, on pourrait satelliser à n'importe quelle altitude mais l'atmosphère empêche de placer un satellite à moins de 200km d'altitude. [...]
[...] Il vaut mieux alors le lâcher plutôt que de devoir dépenser plus de ressources et donc plus de wagons et d'énergies pour avancer, on exploite donc l'énergie minimale pour avancer. Le principe est le même pour une fusée. Le fonctionnement du moteur-fusée Sur la terre, il faut savoir que la force de l'air intervient dans le déplacement d'un avion, mais que l'espace est un milieu anaérobie, donc aucune force extérieure sauf l'attraction gravitationnelle s'exerce sur la fusée. La force gravitationnelle de la terre influe en effet sur la fusée mais elle est une contrainte et non une aide. C'est ici qu'intervient le moteur d'une fusée. [...]
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