Ce projet étudie les différentes techniques et technologies disponibles pour concevoir une voiture électrique, fiable, performante et possédant une autonomie d'au moins 80km. Après avoir cerné les besoins des clients potentiels et défini notre cahier des charges, nous établirons, après argumentation, quelle serait aujourd'hui la voiture électrique la mieux adaptée au marché. Nous décrirons le fonctionnement des principaux organes et nous évoquerons aussi les technologies que nous n'avons pas retenues dans le but de justifier nos choix.
[...] Il est rappelé que l'intensité est proportionnelle à la quantité d'électrons déplacés et à la quantité de matière mise en oeuvre. Une batterie chargée possède un excès d'électrons à sa plaque négative et un manque d'électrons à sa plaque positive. Lorsque les deux plaques possèdent le même nombre d'électrons, la batterie ne débite plus de courant (on dit qu'elle est " à plat Choix des éléments chimiques composant les électrodes et l'électrolyte. [xxiii] Ici l'anode est en lithium. Le lithium a une masse molaire faible et est donc très intéressant. [...]
[...] Rendement Le rendement exprime le rapport entre la puissance consommée et la puissance fournie à un circuit. Le rendement d'utilisation pour notre type de batterie est de Place et poids de la batterie 3.1 Détermination du nombre d'éléments [xxiv] Pour des mesures de sécurité, nous avons rejeté l'hypothèse de combiner plusieurs batteries de natures différentes en série. On sait que la tension élémentaire d'une batterie Li-ion est de 3,7V . Pour notre voiture électrique, il nous faut une tension d'environ 180V. [...]
[...] L'inconvénient majeur de ce type de moteur réside dans son coût de fabrication, en raison notamment du dispositif électronique qui pour des grosses puissances devient onéreux. Les maintenances sur les bobines sont aussi rendues plus difficiles, le bobinage se trouvant sur le bâti. N'étant pas forcement adapté pour les puissances importantes, en raison notamment de son rapport poids/puissance trop élevé, il ne sera pas retenu pour notre conception Les moteurs à courants alternatifs Moteurs AC triphasés synchrones. Le principe de ces moteurs est finalement assez similaire au moteur DC. [...]
[...] Sur celui-ci le changement de sens du courant est assuré par un dispositif électronique associé à un capteur optique ou à effet Hall (voir encadré et figure permettant de suivre à tout moment la position du rotor. Cependant pour pouvoir se passer de contact, on inverse les rôles du rotor est du stator. Ainsi les aimants permanents se trouvent sur le rotor et l'électro-aimant crée par le passage du courant dans les bobines se retrouvent sur le stator. Le principe reste identique. [...]
[...] On pourra ajouter des résistances pour diminuer encore l'intensité. Pour récapituler le démarrage se déroule en 2 étapes. La tension de la ligne triphasée restera inchangée durant toute la procédure de démarrage : Le moteur est démarré couplé en étoile (sous-alimenté) On bascule sur un couplage triangle rapidement Le couplage triangle assure au moteur sa tension nominale. figure 18 : schéma du dispositif de démarrage étoile-triangle[xviii] Pour démarrer le moteur, on ferme KM2, puis pour le démarrage on ferme KM1 en laissant KM3 et l'on obtient un couplage étoile, une fois lancé (après une temporisation bien défini) KM3 se ferme très peu de temps après que KM1 se soit ouvert. [...]
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