Voler, avion, homme volant, mythe d'Icare, rêve de voler, ailes
Depuis plusieurs siècles, l'homme cherche à voler, voulant imiter les oiseaux qu'ils considéraient comme libres. Le très ancien mythe d'Icare racontait déjà la tentative de vol du jeune homme avec des ailes composées de plumes fixées avec de la cire. Dans la mythologie grecque, Icare est le fils de l'architecte Dédale. Enfermés dans un labyrinthe, ils décidèrent de s'enfuir par le seul moyen : les airs. Dédale fit des ailes de cire à son fils, puis Icare s'envola. Il s'approcha trop près du soleil et ses ailes fondirent. Depuis, l'Homme n'a qu'un rêve: voler.
[...] Ce rapport est appelé : finesse aérodynamique. A chaque incidence correspond un CZ et un CX, et donc une finesse différente. Sur la polaire, la finesse à une incidence donnée, α, est matérialisée par la tangente de l'angle formé entre l'axe des abscisses et la droite joignant l'origine au point correspondant à l'incidence α. On voit qu'il existe un angle d'incidence pour lequel la finesse est maximale: on l'obtient en menant à partir de l'origine une tangente à la polaire. [...]
[...] C'est pour cela que le tourbillon est très réduit dans ce type d'aile. De plus, la forme de l'aile classique étant mise en place de manière circulaire, l'aile devient un type d'aile biplan, et créer donc une double portance. Et donc, il y a beaucoup moins de traînées et cette aile pourrait donc beaucoup réduire la consommation de carburant d'un avion. : Surpression : Dépression : Tourbillons Le vol de l'homme Étude de l'aile de l'oiseau Structure interne Les oiseaux, pour pouvoir voler, doivent allier robustesse et légèreté. [...]
[...] -une composante perpendiculaire à cette dernière, dirigée vers le haut, que l'on appelle la portance. Dans le cas d'une aile d'avion, et bien que celle-ci ne soit pas exactement une plaque plane inclinée, la portance est la force qui va permettre de vaincre le poids de l'avion. Par contre, la traînée constitue la résistance à l'avancement : il faut donc chercher à réduire au maximum cette dernière. Sur un avion en vol horizontal à vitesse constante, la portance équilibre le poids (vol horizontal), et la traction de l'hélice doit équilibrer la traînée (vol à vitesse constante). [...]
[...] Répartition des pressions Pour représenter l'évolution des surpressions et des dépressions autour du profil, on va porter sur sa périphérie des vecteurs normaux à la surface, dirigés vers le profil s'il s'agit d'une surpression, et vers l'extérieur du profil en cas de dépression. La longueur des vecteurs étant bien entendu proportionnelle à la valeur de la surpression ou de la dépression. On constate que la surpression d'intrados et que la dépression d'extrados sont les plus élevées sur le tiers avant du profil. [...]
[...] A ce moment précis, le coefficient de portance chute brutalement (l'avion perd de l'altitude). Pour augmenter la portance pendant les phases de décollage et d'atterrissage, on utilise des dispositifs appelés hypersustentateurs. Ils sont situés au bord d'attaque (becs) et au bord de fuite (volets) et voilure, et agissent en augmentant à la fois la surface de l'aile et sa courbure. Des fentes sont aménagées entre le profil et le dispositif hypersustentateur afin de redonner de l'énergie à l'écoulement de l'extrados et retarder ainsi le décollement de la couche limite. [...]
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