Nous avons choisi de faire notre introduction du parachutisme pour illustrer le niveau de maitrise du parachutisme avant le débarquement en Normandie.
Le parachutisme est né quelques milliers d'années avant Jésus-Christ, en Chine. la culture chinoise mentionne qu'à partir d'une tour ils se lançaient à l'aide d'un dispositif ressemblant au parachute.
Cette discipline a été reconsidérée par Léonard de Vinci qui a dessiné une ébauche de parachute vers 1500, pendant la Renaissance. Ce parachute fut testé après quelques modifications (comme l'ajout d'un harnais) le 26 avril 2008 par un Suisse. C'était un parachute, sans harnais avec une toile pyramidale, il mesurait environ sept mètres sur sept mètres de large.
L'histoire du parachutisme n'a réellement pu commencer qu'avec l'invention de la montgolfière en 1782. Louis-Sébastien Lenormand inventa le terme "parachute", à partir du mot "parasol" pour désigner l'engin avec des armatures en bois à partir duquel il sauta de l'observatoire de Montpellier le 26 décembre 1783 après l'avoir testé sur des animaux, la fonction initiale était de sauver des gens lors d'incendies d'immeubles. Ensuite le parachute composé seulement de toile est arrivé.
Le 22 octobre 1797, le premier saut de l'histoire a été fait par André-Jacques Garnerin qui sauta au-dessus du Parc Monceau à partir d'une Montgolfière montée à 680 mètres.
En 1808, Judaki Kuparento effectua le premier saut comme moyen de survie depuis son ballon en feu.
En 1837, survient le premier accident de parachute où Roberto Cocking sautait d'environ 1500 mètres avec un parachute qu'il avait inventé. Le parachute était en forme de cône inversé, avec une armature en bois intérieure. Mais l'armature était trop petite, le parachute avait une surface pas assez importante et donc il tomba trop vite et Cocking mourut. Le harnais fut inventé en 1885 par Thomas Scott Baldwing, le parachute est quasiment achevé, les améliorations suivantes ne modifieront pas son concept général.
Au début du XXème siècle, le parachute sera surtout utilisé comme dispositif de sécurité pour évacuer un aéronef ayant des problèmes (...)
[...] Ce que j'ai trouvé de très étonnant était que chaque parachu ste demandait à recevoir plus de muni ons, malgré le fait que nous é ons très lourdement chargés. Chacun voulait disposer d'une puissance de feu poten elle plutôt que de dépendre du ravitaillement. Puis nous avons a/endu, tuant le temps en effectuant des vérifica ons de nos équipements, ne/oyant et rene/oyant nos armes, aiguisant encore et toujours nos couteaux, vérifiant nos équipements téléphoniques ainsi que les sacs où étaient disposés nos muni ons qui seront largués en même temps que nous. [...]
[...] C'est pourquoi les alliés choisissent de débarquer sur les plages de Normandie. Pour faire croire aux allemands que les alliés vont a/aquer par le Pas de Calais, des milliers de leurres gonflables sont mis en place dans le Sud Est de l'Angleterre. Les allemands croient que c'est une énorme concentra on de troupe alors que ce n'est qu'une armée de Latex. De plus le mois précédent, le Pas de Calais a été bombardé plus fortement que la Normandie pour que les allemands y croient. [...]
[...] Ce second front est ouvert grâce au débarquement en Sicile le 10 juillet 1943 qui oblige les allemands à reculer. A l'ouest de l'Europe, un troisième front est ouvert avec le débarquement en Normandie car le front ouvert en Italie a une progression trop lente. Ce débarquement ini alement prévu le 5 juin 1944 est reporté au 6 juin à cause des mauvaises condi ons météorologiques. La bataille de Normandie commence le 6 juin 1944 avec le débarquement et le parachutage des troupes. [...]
[...] La 82 ème Airborne La 101 ème Airborne Chaque division aéroportée américaine comprend : un QG trois régiments d'infanterie parachu ste un régiment d'infanterie planée un régiment d'ar llerie de campagne à 4 bataillons un bataillon d'ar llerie an aérienne (AAAB - Airborne An aircra= Ar llery Ba@alion) une unité de reconnaissance planée un bataillon de génie des unités logis ques et médicales des pathfinders (éclaireurs) provenant des diverses unités mais regroupés pour la mission de balisage avant l'arrivée du gros des troupes. Une division compte environ soldats, dont parachu stes. La 82ème division comprenait 369 avions et la 101ème 432. La 82ème division et la 101ème division ont chacune 3 zones de droppage (de saut). Le 505ème régiment parachu ste a a/erri au nord-ouest de Sainte-Mère-Eglise, le 507ème régiment parachu ste au Nord d'Amfreville, et le 508ème s'est posé au Sud d'Amfreville. [...]
[...] C'est pour ce/e raison que j'avais emporté un pe t revolver à barillet Smith & Wesson, que je portais juste sous le parachute de réserve et sous le gilet de sauvetage jaune, au cas où j'en avais besoin au moment de l'a/errissage. Le Jour J était dans un premier temps prévu pour le 5 juin 1944, mais les mauvaises condi ons clima ques ont retardé l'invasion de 24 heures. Finalement, aux alentours de 20 heures 30, le lundi 5 juin 1944, notre s ck s'est rassemblé. Mon s ck comptait 18 parachu stes et nous avons traversé l'aérodrome en direc on de l'avion qui devait nous transporter. [...]
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