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L'évolution des sciences, le progrès de la société et le cheminement de plus en plus scientifique des moeurs et des idées, ont pour origine les nombreuses découvertes scientifiques. La science de notre époque n'est en effet pas la même que celle d'avant et tous ces progrès sont partiellement dus à de grands hommes. Dans notre exposé, nous passerons par toutes les époques pour parler des plus grandes découvertes scientifiques de l'histoire de l'homme, et ainsi parler des plus grands scientifiques.
Pour répondre à la problématique : « Les découvertes scientifiques proviennent-elles toujours d'expériences construites ? », nous étudierons d'abord la curiosité de l'homme, qui peut les pousser à tenter des expériences scientifiques, puis nous nous intéresserons au hasard et la façon dont il intervient dans la science, et la manière dont divers évènements peuvent amener à des grandes découvertes scientifiques.
[...] Au mois de septembre, un jour d'orage violent, il partit avec son fils en balade au bout duquel se trouvait un cordon de chanvre. Au bout de ce cordon, se trouvaient un ruban de soie et une clef. Un orage approcha ; durant celui-ci, il lança le cerf-volant avec une pointe métallique. Dès qu'un des nuages orageux entre en contact avec le cerf-volant, explique Franklin dans son compte-rendu d'expérience, l'électricité qu'il contient est attirée par la pointe métallique, électrisant le cerf-volant et la ficelle, dont les petits filaments se hérissent à l'approche du doigt. [...]
[...] Lorsque le cerf-volant et la ficelle ont été mouillés par la pluie, ils conduisent encore mieux l‘électricité. Ainsi, il collecte les charges électriques du nuage de la tempête, qui génère ainsi une faible charge d'électricité statique dans le collecteur (la clef). Alors, il approche ses doigts de la clé et en retire une forte étincelle, ce qui implique que les éclairs sont effectivement de nature électrique. Par la suite Franklin imaginera et mettra au point le paratonnerre. c. Volta et la découverte de la pile électrique En 1792 les conditions d'excitation des muscles d'une grenouille consistaient à mettre deux métaux en contact avec le muscle d'une grenouille morte, provoquant la contraction du muscle, émettant ainsi l'hypothèse qu'un circuit électrique est constitué de métaux. [...]
[...] Si on immerge le plateau de gauche, la couronne subit une poussée d'Archimède. Elle paraît moins lourde, la balance est déséquilibrée. Si on immerge ensuite le plateau de droite, l'équilibre est rétabli. En effet, la couronne et la quantité d'or ont la même masse, donc le même volume, ce qui entraîne une poussée d'Archimède égale. On considère maintenant que la couronne et l'or n'ont pas la même masse volumique. La couronne avait un volume supérieur à celui de l'or donné, elle contenait donc un autre métal en l'occurrence de l'argent, qui pour un même volume pèse moins lourd que l'or. [...]
[...] Les scientifiques sont donc redevables au hasard. On connaît assez de grandes découvertes nées d'une erreur, d'une fausse manipulation ou d'une coïncidence Le hasard peut intervenir directement, en agissant simplement sur une découverte scientifique, ou indirectement, provoquant un concours de circonstances qui va conduire, avec le savant, à une découverte scientifique. Un proverbe français dit d'ailleurs que le hasard souvent fait plus que la science. Prenons le cas d'Alexander Fleming et de la découverte de la pénicilline. Ici, le hasard a agi indirectement sur cette découverte en additionnant un retour de voyage long à un caractère désordonné d'un grand chercheur. [...]
[...] Il est connu pour ses multiples travaux scientifiques, théoriques ou pratiques, que ce soit en mathématique ou bien en physique. Un beau jour, le roi Hiéron II de Syracuse en Sicile commanda une couronne en or pour l'offrir aux Dieux. Il donna à l'orfèvre la masse d'or nécessaire à sa fabrication. La couronne réalisée était superbe, elle fut pesée, sa masse était identique à celle de l'or donné. Mais, suspectant son bijoutier d'avoir remplacé une partie de l'or par un autre matériau, il demanda à son jeune ami et conseiller scientifique Archimède, alors âgé alors de 22 ans seulement, de prouver ce qu'il avançait. [...]
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