En 1789, le chimiste allemand Martin Klaproth découvre une nouvelle substance dans la pechblende (un minéral riche en uranium), en plus du zinc, du fer et du tungstène. Cette substance est l'oxyde d'uranium (UO2), considérée alors comme indécomposable. Il lui donne le nom « uranium » en référence à la planète Uranus que vient de découvrir l'astronome anglais William Herschel (...)
[...] Les êtres vivants, quant à eux, sont principalement composés de carbone d'oxygène d'azote d'hydrogène de calcium et de phosphore L'élément le plus lourd existant à l'état naturel est l'uranium (de symbole de masse atomique 238 et de numéro atomique 92). Les éléments plus lourds que l'uranium sont appelés les transuraniens. Ils n'existent pas dans la nature et sont créés de manière artificielle au cours de réactions nucléaires dans de gigantesques accélérateurs de particules. Le tableau périodique des éléments comporte encore des trous que les chimistes tentent de remplir. [...]
[...] I-L'uranium L'uranium est un élément chimique. C'est un élément radioactif, le plus lourd existant à l'état naturel. II-QUI A DÉCOUVERT L'URANIUM ? En 1789, le chimiste allemand Martin Klaproth découvre une nouvelle substance dans la pechblende (un minéral riche en uranium), en plus du zinc, du fer et du tungstène. Cette substance est l'oxyde d'uranium considérée alors comme indécomposable. Il lui donne le nom uranium en référence à la planète Uranus que vient de découvrir l'astronome anglais William Herschel En 1841, le français Eugène Péligot réussit à obtenir l'uranium à l'état pur, c'est-à-dire sous forme métallique. [...]
[...] On le rencontre le plus souvent sous forme de sulfure (HgS) dans le cinabre (métal de couleur rouge qui contient du soufre et du mercure). Les principaux gisements de cinabre se trouvent en Espagne, en Italie, aux États-Unis et au Mexique. QUELLES SONT LES PROPRIÉTÉS CHIMIQUES ET PHYSIQUES DU MERCURE ? Le mercure est le seul métal liquide à température ambiante. Brillant, de couleur blanc argenté, il est très peu réactif. Il ne réagit ni avec l'air, ni avec l'eau, ni avec les bases et la plupart des acides. [...]
[...] Considéré comme de l'argent liquide par les alchimistes, il tire son nom du latin hydrargyrum qui signifie argent liquide d'où son symbole Hg. Ces derniers l'ont étudié car ils le considéraient comme la clé pour la transmutation (transformation) des métaux en or. Ils lui ont donné comme symbole alchimique celui de la planète Mercure, d'où son nom actuel. C'est Antoine de Lavoisier qui a établi le premier, à la fin du xviiie siècle, que le mercure était un élément chimique. IX- COMMENT LE MERCURE SE PRÉSENTE-T-IL DANS LA NATURE ? Le mercure est assez peu abondant dans la nature. [...]
[...] Celle–ci peut être contrôlée dans le réacteur d'une centrale nucléaire. En revanche, elle est volontairement incontrôlée dans les bombes atomiques. VI- La fission et la fusion nucléaires : Découverte en 1938 par les physiciens allemands Otto Hahn et Fritz Strassmann, la fission nucléaire est la division d'un noyau atomique en plusieurs fragments, sous l'impact d'une particule (généralement un neutron). La fusion nucléaire correspond, quant à elle, à la réunion de plusieurs noyaux atomiques en un seul. Ces deux types de réactions nucléaires libèrent d'importantes quantités d'énergie. [...]
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