Etude bibliographique du rapport des flux d'antiprotons et de protons dans le rayonnement cosmique. Document détaillé de 5000 mots environ.
[...] L. et al, Astrophys. Lett (1984) 75 Salamon S. et al, ApJ (1990) 78 Bogomolov E. A. et al Proc. Of XXII ICRC Adriani O. et al Proc. of XXIV ICRC, Rome Mitchell J. W. et al, Phys. [...]
[...] - Les gammes d'énergies accessibles lors de ces mesures ainsi que les mesures d'énergie doivent être déterminées avec soin. - Les observations étant réalisées près de la terre, il faut tenir compte de l'activité solaire. En ce qui concerne les modèles théoriques, il faut estimer avec précision les incertitudes sur les différents paramètres (mal connus pour certains d'entre eux) et l'incertitude sur le résultat final. Terminons en signalant qu'un spectromètre (expérience PAMELA doit être bientôt embarqué sur le satellite russe Resurs. [...]
[...] Pour le cas des antiprotons, les auteurs remplacent β par β/(4-3β2)1/2. Ce type de loi de puissance est en assez bon accord avec les mesures pour des rigidités comprises entre 2 GV et 50 GV. En dessous de 2 GV, l'accord est beaucoup moins bon. Les principales causes d'incertitudes pour ces calculs de chemins sont: - les incertitudes sur les rapports rayons secondaires/rayons primaires - les incertitudes sur les sections efficaces - pour les rigidités faibles, les effets dus aux variations de l'activité solaire. [...]
[...] Les auteurs signalent aussi que l'identification de la particule est cruciale dans ce type d'expérience. En effet, le bruit de fond est très important et il faut être à même de détecter le faible nombre d'antiprotons. Bogomolov et al Lors de cette conférence, Bogomolov et al. présentent les résultats d'une mesure de 1986-88. La mesure réalisée grâce à un ballon sonde donne un rapport de 10-4 avec des incertitudes de + 2,4 et -1,3. Cette mesure est réalisée pour des énergies entre 2 et 5 GeV. [...]
[...] Salamon et al Dans cet article, Salamon et al. expliquent ne pas avoir observé d'antiproton en dessous de 1,580 GeV alors qu'ils ont observé protons. Ils en déduisent une limite supérieure pour le rapport qui vaut pour une gamme d'énergie de 0,1 à 0,64 GeV. En tenant compte des différentes corrections, ils estiment finalement que la limite supérieure pour le rapport qui vaut -5. Ces valeurs sont basées sur l'expérience PBAR embarquée dans un ballon sonde en 1987 au Canada. [...]
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