Après compression d'un mélange air / carburant, la combustion est provoquée par l'étincelle qui jaillie entre les électrodes de la bougie.
La compression augmente la température et peut provoquer une auto-inflammation (détonnant) prématurée : le moteur cliquette ou cogne.
Plus le taux de compression est fort (ce qui est à craindre), plus le rendement est grand (consommation plus faible) (...)
[...] Le vapocraquage Ne concerne pas les carburants. Il permet de produire des alcènes et des hydrocarbures benzéniques. Les hydrocarbures légers (vaporisés et mélangés à la vapeur d'eau) sont soumis à une température élevée pendant un temps très court (fraction de seconde). L'automobile, carburant et pot catalytique Les moteurs à explosion ou à allumage commandé (essence) Après compression d'un mélange air/carburant, la combustion est provoquée par l'étincelle qui jaillie entre les électrodes de la bougie. La compression augmente la température et peut provoquer une auto- inflammation (détonnant) prématurée : le moteur cliquette ou cogne. [...]
[...] On a deux indices : - RON (indice d'octane recherche) : conduite en ville - MON (indice d'octane moteur) : conduite sur autoroute →Amélioration de l'indice d'octane Au cours du reformage, il y utilisation d'additifs (alcool, éther Il peut contenir une centaine d'additifs différents à des doses très faibles 1g/Kg d'essence) qui ont plusieurs rôles : - prévention de l'encrassement du moteur (détergent) - maintien de la sécurité et de la qualité de l'emploi (anti-oxydant) - meilleur agréments d'utilisation (anti-mousse ) Les moteurs diesel (gasoil) Le carburant est injecté dans des cylindres contenant de l'air, puis il est porté à compression à une température de 500-600°C et il s'enflamme spontanément. Le carburant doit être plus détonnant que l'essence. →Indice de cétane Il est définit par rapport à l'α-méthylnaphtalène composé aromatique et à l'hexa-décane chaîne linéaire (plus auto-inflammable). Le gasoil a un indice de 50, il doit avoir un fort pourcentage d'hydrocarbures linéaires et peu d'aromatiques. Les pots catalytiques Ils limitent les émissions polluantes de l'automobile. [...]
[...] Il est en céramique poreuse recouverte de métaux précieux et couteux à 2g de Pd, Pt et Rh). C'est 30% du Pt du Pd et 90% du Rh produit dans le monde. Il faut donc réaliser un recyclage des métaux. Le pot catalytique ne fonctionne pas à 100% et ne change rien aux émanations de CO2. Catalyseur : produit qui augmente la vitesse de réaction chimique sans participer au bilan réactionnel . [...]
[...] -2ème colonne : fractions les plus légères, elles vont être redistillées dans une autre installation. -3ème colonne : fraction la plus lourde, distillée sous pression réduite. Les pourcentages obtenus ne correspondent pas aux besoins de la consommation. D'autres procédés permettent de modifier leur nature. Le craquage Les fractions lourdes subissent des traitements conduisant à la rupture de la chaîne carbonée. On utilise l'action de la chaleur : le craquage thermique (800 à 1000°C) ou un catalyseur associé à la chaleur : le craquage catalytique (500°C). Le reformage Concerne l'obtention des carburants. [...]
[...] Ce qui est présent dans le pétrole brut : des alcanes à chaînes droites : paraffines des alcanes ramifiés : isoparaffines des alcanes cycliques : naphtènes des hydrocarbures aromatiques du soufre, des dérivés azotés, des dérivés d'oxygène Ce qui n'est pas présent dans le pétrole brut : Des hydrocarbures éthyléniques ou acétyléniques. Le raffinage : C'est la séparation, les transformations et les traitements du pétrole afin de répondre aux différents besoins. La distillation Opération de fractionnements des mélanges sans modifier la nature des constituants (point d'ébullition de 0 à plusieurs centaines de degrés). - 1ère colonne : distillation à pression atmosphérique, le but est de chauffer à 380°C, il est introduit en continu. [...]
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