Mouvements, forces, mouvements périodiques, lois de Newton, puissance d'une force
Exemples de mouvements:
- Mouvement rectiligne uniforme (la trajectoire de l'objet est une droite dont la vitesse est constante),
- Mouvement rectiligne accéléré,
- Mouvement rectiligne décéléré,
- Mouvement curviligne uniforme (la trajectoire de l'objet est une courbe dont la vitesse est constante),
- Mouvement curviligne accéléré,
- Mouvement curviligne décéléré.
[...] Au contraire, si le travail d'une force est supérieur à on dit que son travail est moteur. -le travail du poids d'un objet se calcule comme celui d'une force constante égale au poids total de l'objet P=mg et dont le point d'application est le centre de gravité G de l'objet, qui coïncide avec son centre d'inertie. Le travail du poids se calcule de cette manière: WAB= P.AB.cosθ = mg.AB.cosθ. Le travail du poids d'un objet dont le centre d'inertie G passe de la position A à la position B a pour expression: -WAB = mg(za-zb) pour un axe Oz vertical ascendant -WAB = mg(zb-za) pour on axe Oz vertical descendant Énergie cinétique et énergie potentielle de pesanteur: -considérons un solide de masse m et de centre d'inertie G en chute libre. [...]
[...] Ec= 1/2mvg² ATTENTION CETTE EXPRESSION DE L'ÉNERGIE CINÉTIQUE N'EST VALABLE QUE POUR LE MOUVEMENT D'UN SOLIDE EN TRANSLATION. -théorème de l'énergie cinétique: dans un référentiel galiléen, la variation de l'énergie cinétique d'un solide en translation dont le centre d'inertie passe de A à B est égale à la somme des travaux de toutes les forces subies: Ec(B)-Ec(A)=ΣWAB(F). -si la somme des forces subies est supérieure à cela signifie que Ec(B)›Ec(A) et donc que vg(B)›vg(A) : le travail est moteur. Inversement, le travail est résistant. [...]
[...] Ainsi, d'après la loi d'additivité des tensions, U = U1+U2+U3 soit, avec la convention récepteur, U = R1I+R2I+R3I. La résistance équivalente du dipôle équivalent à des résistances montées en série est égale à la somme des valeurs de ces résistances. -additivité des conductances en parallèle: G = 1/R est la conductance d'un conducteur ohmique. En convention récepteur, la loi d'ohm s'écrit I=GU. Considérons 3 résistances R1 R2 et R3 associées en parallèle: la tension U est alors communes aux trois dipôles. Loi des nœuds: I = I1+I2+I3 soit, en convention récepteur: U = G1I+G2I+G3I. [...]
[...] -intensité du courant dans le circuit: considérons un générateur de fem E et de résistance interne connecté à un dipôle résistif AB. Le dipôle AB est formé d'une seule résistance, ou bien d'une association de résistances de résistance équivalente Req. Pour le générateur, UPN = E-rI: pour le dipôle AB, UAB = ReqI. Comme UPN = UAB alors E-rI = Req I . Soit I = + Req). -puissance électrique maximale disponible aux bornes d'un générateur: Peg est la puissance électrique disponible aux bornes d'un générateur de fem E. [...]
[...] Pe= UAB.I et UAB/R, on en déduit Pj=U²/R. L'expression choisie de Pj ne dépend pas de la convention choisie -générateur: il cède de l'énergie électrique au reste du circuit par l'intermédiaire du courant électrique. En convention générateur, la puissance de ce transfert d'énergie a pour expression: PeG=UPN.I La tension UPN est la différence de potentiel entre la borne + et la borne - du générateur. C'est une grandeur positive représentée par une flèche de même sens que le courant dans la convention générateur. [...]
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